C’est dans le sable fin et doré de la mer de Gelios que leurs racines sont implantées. Les Lentheos ont vécu depuis la nuit des temps aux pieds de l’océan, bercé par le chant des vagues et l’odeur iodée qui fleure dans les ruelles de la cité portuaire. Maçons habiles et rigoureux, la pierre n’a jamais eu de secret pour ces artisans. C’est au cours de l’an 1005 que les Lentheos ont quitté leur précieuse terre pour rejoindre Volantis, animé par la curiosité et la soif de découverte. Si un sang pur coulait jusqu’alors dans leur veine...leur arrivée fut rapidement suivie d’un mariage, balayant toute pureté. Jaenys Lentheos et Tyraegon Aygeros. Naquit de cette union une descendance au sang dorénavant mêlé, où les cheveux dorés s’entremêlent aux mèches brunâtres et fuligineuses. Une famille que le temps n’a jamais réussi à véritablement séparer. Vaelys a grandi aux côtés de ses cousins, dont les chevelures lui ont toujours évoqué l’éclat d’un Soleil ardent.
Vaevar Lentheos (52 ans) mosaïste : frère de Jaenys Agyreos (54ans et mariée à Tyraegon Agyreos).
, veuf de Daelys Lentheos. (44 ans), anciennement tisseuse et morte en couche en l’an 055.
→ Yraelar Lentheos, soldat mort au combat en l’an 065.
→ Vaelys Lentheos, (25ans) prêtresse de Vermithor.
→ Hesa Nareris, (21 ans) mariée depuis l’an 066 à Valarr Nareris (26 ans), un forgeron.
→ Saela Lentheos, (11 ans), a pour dessein de devenir prêtresse.
Vaevar Lentheos (52 ans) mosaïste : frère de Jaenys Agyreos (54ans et mariée à Tyraegon Agyreos).
, veuf de Daelys Lentheos. (44 ans), anciennement tisseuse et morte en couche en l’an 055.
→ Yraelar Lentheos, soldat mort au combat en l’an 065.
→ Vaelys Lentheos, (25ans) prêtresse de Vermithor.
→ Hesa Nareris, (21 ans) mariée depuis l’an 066 à Valarr Nareris (26 ans), un forgeron.
→ Saela Lentheos, (11 ans), a pour dessein de devenir prêtresse.
Que pensez-vous de l’esclavage à Valyria ? Vaelys considère cette pratique comme étant contraire aux valeurs valyriennes. Son cœur se serre lorsqu’elle aperçoit un de ces êtres qui, s’il ne porte pas de chaîne, reste à jamais privé de sa liberté...La mort est à ses yeux un sort plus clément. Ces âmes égarées lui rappellent chaque jour de chérir son statut, qui lui permet de jouir d’une liberté devenue précieuse. L’esclavage est une fatalité. Vaelys le sait au plus profond d’elle-même...et, en dépit de sa volonté de fer, elle sait que réprimer ce mouvement n'est pas en son pouvoir. Bienveillance et indulgence. C’est ce que la prêtresse s’évertue à leur montrer.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ?
Grande Prêtresse de Vermithor. Un titre qu’elle convoite et désire tant. Bercée depuis son enfance par les valeurs de la religion, Vaelys poursuit ce qu’elle considère être sa destinée. Qu’importe que le chemin soit long et scabreux. La patience est un art qu’elle a appris à maîtriser au fil des années, forgeant ainsi cette vertu en une arme plus aiguisée et affûtée que la lame d’une épée. Son ambition est grande. Bien plus grande que la volonté de son père à la voir épouser un quelconque valyrien.
Vaelys perçoit le mariage comme une chaîne, une entrave à sa liberté, un fer qui brûlerait ses mains avides de s’emparer de cette place qui accapare son esprit. Quitte à s’enfermer dans la solitude. Et oublier la sensation de légèreté qui enivre les âmes comblées de bonheur….Bien qu’un homme aux cheveux nimbés d’or, lui rappelle par ses mots et attentions qu’un vide béant s’agrandit progressivement dans sa poitrine.
Servir les dieux, ces honorables entités qui ont offert aux valyriens la gloire et la prospérité que ce peuple méritait, est un privilège et une tâche qui remplit son cœur de fierté. Vaelys aspire à devenir un pilier au sein du monde religieux. Elle se consacre à devenir cette douce lumière vers laquelle les plus démunis se tourneraient, une lumière dans l’obscurité, une lueur d’espoir. Vaelys souhaite que la paix perdure et s’éternise. Et il lui plaît de croire qu’elle pourrait aider à protéger cette harmonie en gravissant les échelons de la hiérarchie. Seulement, derrière ce zèle à agir au nom du bien commun, la dame œuvre de façon à servir ses intérêts. Des désirs plus égoïstes. L’envie de se démarquer de sa fratrie et de voir briller dans les yeux de son père un éclat de fierté, persiste...Et le temps n’a pas encore réussi à tarir ce souhait datant de son enfance.
Voyez-vous d’un bon œil l’influence de l’armée à Valyria ? Son frère était un soldat. Il avait le combat dans le sang mais la violence coulant dans ses veines n’a jamais gangréné son cœur. L’armée valyrienne peut-elle en dire autant ? Les citoyens doivent leur prospérité aux soldats qui ont vaillamment lutté afin de leur offrir la victoire...et assurer leur sécurité, seulement l'idée que l’influence militaire s’étend progressivement l’effraie quelque peu. Vaelys se souvient aisément de la fierté qui se lisait dans les yeux de son aîné lorsqu’il évoquait l’emprise de la milice sur la cité. Une fierté que la prêtresse n’a jamais partagée. Elle caresse l’espoir que la faction religieuse s’élèvera à son tour pour ombrager la puissance militaire…et réduire en cendre cette étincelle d’influence avant que celle-ci ne devienne un brasier.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ?
Grande Prêtresse de Vermithor. Un titre qu’elle convoite et désire tant. Bercée depuis son enfance par les valeurs de la religion, Vaelys poursuit ce qu’elle considère être sa destinée. Qu’importe que le chemin soit long et scabreux. La patience est un art qu’elle a appris à maîtriser au fil des années, forgeant ainsi cette vertu en une arme plus aiguisée et affûtée que la lame d’une épée. Son ambition est grande. Bien plus grande que la volonté de son père à la voir épouser un quelconque valyrien.
Vaelys perçoit le mariage comme une chaîne, une entrave à sa liberté, un fer qui brûlerait ses mains avides de s’emparer de cette place qui accapare son esprit. Quitte à s’enfermer dans la solitude. Et oublier la sensation de légèreté qui enivre les âmes comblées de bonheur….Bien qu’un homme aux cheveux nimbés d’or, lui rappelle par ses mots et attentions qu’un vide béant s’agrandit progressivement dans sa poitrine.
Servir les dieux, ces honorables entités qui ont offert aux valyriens la gloire et la prospérité que ce peuple méritait, est un privilège et une tâche qui remplit son cœur de fierté. Vaelys aspire à devenir un pilier au sein du monde religieux. Elle se consacre à devenir cette douce lumière vers laquelle les plus démunis se tourneraient, une lumière dans l’obscurité, une lueur d’espoir. Vaelys souhaite que la paix perdure et s’éternise. Et il lui plaît de croire qu’elle pourrait aider à protéger cette harmonie en gravissant les échelons de la hiérarchie. Seulement, derrière ce zèle à agir au nom du bien commun, la dame œuvre de façon à servir ses intérêts. Des désirs plus égoïstes. L’envie de se démarquer de sa fratrie et de voir briller dans les yeux de son père un éclat de fierté, persiste...Et le temps n’a pas encore réussi à tarir ce souhait datant de son enfance.
Voyez-vous d’un bon œil l’influence de l’armée à Valyria ? Son frère était un soldat. Il avait le combat dans le sang mais la violence coulant dans ses veines n’a jamais gangréné son cœur. L’armée valyrienne peut-elle en dire autant ? Les citoyens doivent leur prospérité aux soldats qui ont vaillamment lutté afin de leur offrir la victoire...et assurer leur sécurité, seulement l'idée que l’influence militaire s’étend progressivement l’effraie quelque peu. Vaelys se souvient aisément de la fierté qui se lisait dans les yeux de son aîné lorsqu’il évoquait l’emprise de la milice sur la cité. Une fierté que la prêtresse n’a jamais partagée. Elle caresse l’espoir que la faction religieuse s’élèvera à son tour pour ombrager la puissance militaire…et réduire en cendre cette étincelle d’influence avant que celle-ci ne devienne un brasier.