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Le Sénat Valyrien siège à Drīvo (La Flamme), centre névralgique de la République. C’est au Sénat que la plupart des lois et décisions relatives au bon fonctionnement de la nation sont votées, de même que les expansions territoriales et autres déclarations de guerre. Ses membres, les sénateurs, sont considérés comme l’élite de Valyria, ceux par qui la destinée de ce qui sera un jour le plus grand empire du monde se verra réalisée.
Historiquement, Sylvio Ōño (La Lumière de la Sagesse) n'est constitué que de trois membres appelés les Triarques. Ils sont alors traditionnellement issus des trois familles des fondateurs légendaires de Valyria. La Triarchie, comme on l'appelle alors, règne sans partage sur les territoires valyriens. En 219, la révolte des Dragons Verts retourne la situation et fait chuter les Triarques. Le Conseil s'agrandit à cinq membres pour autant de familles victorieuses face à la Triarchie, qui se retrouve reléguée au rang de simple grande famille. Pour être certains de ne plus avoir à faire face à une tyrannie (et surtout pour assurer leur contrôle sur Valyria), les cinq Dragons Verts mettent sur pieds Drīvo Perzo : le Sénat vient de naître.
Drīvo Perzo – La Flamme de la Vérité – le Sénat valyrien
Le Sénat dispose de 140 sièges (10 pour chaque dieu de l’empire), et chacun est octroyé, en principe, à vie. Evidemment, chaque siège s’accompagne d’une généreuse dotation, ainsi que d’un appartement privé dans Drīvo, en plus du prestige inhérent à la fonction. L’élection d’un sénateur se fait généralement à la mort de son prédécesseur, ou juste après la (très rare) démission de celui-ci, ou son (moins rare) renvoi. Cependant, chaque siège ne s’acquiert pas de la même façon, et de même qu’il existe plusieurs moyens de s’élever au pouvoir, il existe plusieurs manières d’acquérir un siège au Sénat.
Répartition des Sièges
Les sénateurs sont traditionnellement répartis en plusieurs « factions », indépendantes de la manière selon laquelle ils ont été élus. Chaque faction possède ses propres priorités, et suit généralement un « chef », sénateur plus charismatique que les autres, qui pousse les membres de sa faction à voter comme lui. Même si cette idée peut sembler tyrannique, elle est indispensable au bon fonctionnement de la République, et permet au Conseil de 5 de mieux comprendre où se situent les besoins actuels de son peuple. Actuellement, cinq factions sont présentes au Sénat.
Les Factions
La puissance de chaque faction fluctue selon les événements, et il n’est pas rare que l’un ou l’autre sénateur change de faction selon ses objectifs, ou qu’une faction s’allie temporairement à une autre. C’est là toute la subtilité de l’appareil sénatorial valyrien : jusqu’à présent, aucune faction n’a jamais eu suffisamment de pouvoir que pour imposer ses envies aux autres. Et si toutes rêvent de ces pleins pouvoir, elles craignent également ces conséquences…
Sylvio Ōño – La Lumière de la Sagesse – Le Conseil des Cinq
Le Conseil des Cinq représente les dirigeants officiels de la République. Elu par le Sénat pour une période de cinq ans renouvelables, ses membres sont les plus influents de tout le pays, puisque ce sont eux qui décident quelles motions faire voter par le Sénat. En effet, si celui-ci peut proposer des lois aux Conseil, lui seul est à même de décider si oui ou non ils les feront voter. Même si, traditionnellement, ses membres sont choisis au sein même du Sénat, il peut arriver que ce choix soit différent. Ainsi, en plus du traditionnel vote sénatorial, un siège au Conseil peut être attribué par des moyens beaucoup plus rares :
Historiquement, Sylvio Ōño (La Lumière de la Sagesse) n'est constitué que de trois membres appelés les Triarques. Ils sont alors traditionnellement issus des trois familles des fondateurs légendaires de Valyria. La Triarchie, comme on l'appelle alors, règne sans partage sur les territoires valyriens. En 219, la révolte des Dragons Verts retourne la situation et fait chuter les Triarques. Le Conseil s'agrandit à cinq membres pour autant de familles victorieuses face à la Triarchie, qui se retrouve reléguée au rang de simple grande famille. Pour être certains de ne plus avoir à faire face à une tyrannie (et surtout pour assurer leur contrôle sur Valyria), les cinq Dragons Verts mettent sur pieds Drīvo Perzo : le Sénat vient de naître.
Le Sénat dispose de 140 sièges (10 pour chaque dieu de l’empire), et chacun est octroyé, en principe, à vie. Evidemment, chaque siège s’accompagne d’une généreuse dotation, ainsi que d’un appartement privé dans Drīvo, en plus du prestige inhérent à la fonction. L’élection d’un sénateur se fait généralement à la mort de son prédécesseur, ou juste après la (très rare) démission de celui-ci, ou son (moins rare) renvoi. Cependant, chaque siège ne s’acquiert pas de la même façon, et de même qu’il existe plusieurs moyens de s’élever au pouvoir, il existe plusieurs manières d’acquérir un siège au Sénat.
֍ 40 sièges sont héréditaires, et octroyés aux 40 familles nobles valyriennes. Même si le chef de famille occupe généralement ce siège, il lui est possible, à loisir, de l’offrir à un autre membre de sa famille.
֍ 40 sièges sont réservés à l’élite du peuple valyrien. Généralement, on offre ces sièges aux citoyens qui se sont distingués de leurs pairs, d’une façon ou d’une autre. Sans surprise, il s’agit la plupart du temps de marchands aux ambitions politiques importantes, et avec les fonds pour soutenir celles-ci. Bien souvent, ces sièges sont « achetés », en échange d’une contribution financière aux campagnes de l’état, même s’il peut arriver qu’un citoyen particulièrement populaire ou vertueux soit également choisi, sans doute pour préserver les apparences, et montrer que même le plus humble des valyriens peut s’élever, et aider à la grandeur du pays.
֍ 20 sièges sont attribués à l’armée. D’une importance primordiale dans les ambitions valyriennes, l’attribution de ces sièges à l’appareil militaire de façon permanente est assez récente, et permet notamment de s’assurer de la fidélité des généraux commandant les armées au combat, afin d’éviter que ceux-ci ne cherchent à atteindre le pouvoir par d’autres moyens. Si les sièges précédents sont d’ordinaire attribués à vie, un sénateur élu par l’armée ne conservera son siège que tant qu’il servira celle-ci. Toute retraite serait alors considérée comme une démission.
֍ 20 sièges sont « offerts » au Sénat, qui peut décider lui-même, peu importe ses raisons, des personnes qui les occuperont. Ceux-ci sont attribués sur base d’un vote à la majorité, et sont souvent utilisés comme cadeau d’une faction à une autre, pour obtenir du soutien lors d’un vote, par exemple.
֍ 20 sièges sont occupés selon le bon vouloir du Conseil des Cinq. Les sénateurs qui occupent ceux-ci sont souvent considérés comme le « noyau loyaliste », qui vote toujours dans le sens de ceux qui les ont placés là. Quand le Conseil propose une loi, il dispose ainsi toujours d’un soutien l’empêchant de perdre complètement la face, ainsi que d’agents au Sénat qui peuvent les aider à trouver du soutien parmi les autres Sénateurs. Même si ces sièges sont généralement conservés lorsque le mandat du Conseil arrive à son terme, il peut arriver que le nouveau Conseil décide de faire place nette, et de nommer ses propres sénateurs, car trop méfiant de ceux qui ne sont, en principe, au Sénat que pour les soutenir.
֍ 40 sièges sont réservés à l’élite du peuple valyrien. Généralement, on offre ces sièges aux citoyens qui se sont distingués de leurs pairs, d’une façon ou d’une autre. Sans surprise, il s’agit la plupart du temps de marchands aux ambitions politiques importantes, et avec les fonds pour soutenir celles-ci. Bien souvent, ces sièges sont « achetés », en échange d’une contribution financière aux campagnes de l’état, même s’il peut arriver qu’un citoyen particulièrement populaire ou vertueux soit également choisi, sans doute pour préserver les apparences, et montrer que même le plus humble des valyriens peut s’élever, et aider à la grandeur du pays.
֍ 20 sièges sont attribués à l’armée. D’une importance primordiale dans les ambitions valyriennes, l’attribution de ces sièges à l’appareil militaire de façon permanente est assez récente, et permet notamment de s’assurer de la fidélité des généraux commandant les armées au combat, afin d’éviter que ceux-ci ne cherchent à atteindre le pouvoir par d’autres moyens. Si les sièges précédents sont d’ordinaire attribués à vie, un sénateur élu par l’armée ne conservera son siège que tant qu’il servira celle-ci. Toute retraite serait alors considérée comme une démission.
֍ 20 sièges sont « offerts » au Sénat, qui peut décider lui-même, peu importe ses raisons, des personnes qui les occuperont. Ceux-ci sont attribués sur base d’un vote à la majorité, et sont souvent utilisés comme cadeau d’une faction à une autre, pour obtenir du soutien lors d’un vote, par exemple.
֍ 20 sièges sont occupés selon le bon vouloir du Conseil des Cinq. Les sénateurs qui occupent ceux-ci sont souvent considérés comme le « noyau loyaliste », qui vote toujours dans le sens de ceux qui les ont placés là. Quand le Conseil propose une loi, il dispose ainsi toujours d’un soutien l’empêchant de perdre complètement la face, ainsi que d’agents au Sénat qui peuvent les aider à trouver du soutien parmi les autres Sénateurs. Même si ces sièges sont généralement conservés lorsque le mandat du Conseil arrive à son terme, il peut arriver que le nouveau Conseil décide de faire place nette, et de nommer ses propres sénateurs, car trop méfiant de ceux qui ne sont, en principe, au Sénat que pour les soutenir.
Les sénateurs sont traditionnellement répartis en plusieurs « factions », indépendantes de la manière selon laquelle ils ont été élus. Chaque faction possède ses propres priorités, et suit généralement un « chef », sénateur plus charismatique que les autres, qui pousse les membres de sa faction à voter comme lui. Même si cette idée peut sembler tyrannique, elle est indispensable au bon fonctionnement de la République, et permet au Conseil de 5 de mieux comprendre où se situent les besoins actuels de son peuple. Actuellement, cinq factions sont présentes au Sénat.
֍ la Faction civile : la faction dite « civile », se préoccupant majoritairement de conserver le niveau de vie et les avantages du peuple valyrien (et surtout le sien), par le développement des villes, de la puissance de l’état et des lois qui renforcent le pouvoir central.
֍ la Faction religieuse : la faction religieuse, qui considère que le respect et la vénération des 14 dieux prévaut sur les lois des hommes. Ces sénateurs écoutent avant tout l’avis des prêtres, et les signes qui leur sont envoyés. Selon eux, la véritable grandeur du peuple valyrien (et surtout la leur) ne peut être atteinte que dans l’ombre de ceux qui leur ont accordé la possibilité de régner sur tout le continent.
֍ la Faction mercantile : la faction mercantile ne jure que par la richesse. Selon elle, l’économie est la voie royale vers l’expansion de Valyria, et l’obtention d’encore plus d’influence (surtout pour eux). Ainsi, cette faction cherche généralement à faire adopter des lois et décrets qui avantageront les commerces et la production, ou qui en tout cas permettront à ses membres de s’enrichir toujours plus.
֍ la Faction militariste : La faction militariste repose sur une doctrine simple : qui a la meilleure armée peut potentiellement contrôler le monde. Ils considèrent que le plus important est de faire étalage de sa force, et d’établir la domination de Valyria (et surtout la leur) sur les autres peuples à force de feu, de magie et d’épées. Sans surprise, ils chercheront toujours à favoriser des décisions agressives, et seront les premiers soutiens d’une éventuelle déclaration de guerre, si tant est qu’ils considèrent qu’ils peuvent gagner cette dernière.
֍ la Faction populiste : La faction populiste est l’opposition par excellence. Selon eux, l’Etat n’est pas à même de diriger correctement la nation, et son fonctionnement doit être revu pour affirmer encore mieux la grandeur de Valyria (et surtout la leur). Cette faction regroupe généralement les mécontents, ceux qui se sentent lésés par les autres factions, ou qui n’ont pas su rejoindre l’une d’entre elle. Si cette faction est souvent moquée par les autres, il faut se rendre à l’évidence : des mécontents sont facilement achetables, et constituent donc une réserve de choix pour une faction qui a de quoi payer leur soutien. Mais certains, parmi les plus sages, disent qu’il ne manque aux populistes qu’une figure d’autorité à suivre pour, un jour, détruire la République et former le plus Grand des Empires.
֍ la Faction religieuse : la faction religieuse, qui considère que le respect et la vénération des 14 dieux prévaut sur les lois des hommes. Ces sénateurs écoutent avant tout l’avis des prêtres, et les signes qui leur sont envoyés. Selon eux, la véritable grandeur du peuple valyrien (et surtout la leur) ne peut être atteinte que dans l’ombre de ceux qui leur ont accordé la possibilité de régner sur tout le continent.
֍ la Faction mercantile : la faction mercantile ne jure que par la richesse. Selon elle, l’économie est la voie royale vers l’expansion de Valyria, et l’obtention d’encore plus d’influence (surtout pour eux). Ainsi, cette faction cherche généralement à faire adopter des lois et décrets qui avantageront les commerces et la production, ou qui en tout cas permettront à ses membres de s’enrichir toujours plus.
֍ la Faction militariste : La faction militariste repose sur une doctrine simple : qui a la meilleure armée peut potentiellement contrôler le monde. Ils considèrent que le plus important est de faire étalage de sa force, et d’établir la domination de Valyria (et surtout la leur) sur les autres peuples à force de feu, de magie et d’épées. Sans surprise, ils chercheront toujours à favoriser des décisions agressives, et seront les premiers soutiens d’une éventuelle déclaration de guerre, si tant est qu’ils considèrent qu’ils peuvent gagner cette dernière.
֍ la Faction populiste : La faction populiste est l’opposition par excellence. Selon eux, l’Etat n’est pas à même de diriger correctement la nation, et son fonctionnement doit être revu pour affirmer encore mieux la grandeur de Valyria (et surtout la leur). Cette faction regroupe généralement les mécontents, ceux qui se sentent lésés par les autres factions, ou qui n’ont pas su rejoindre l’une d’entre elle. Si cette faction est souvent moquée par les autres, il faut se rendre à l’évidence : des mécontents sont facilement achetables, et constituent donc une réserve de choix pour une faction qui a de quoi payer leur soutien. Mais certains, parmi les plus sages, disent qu’il ne manque aux populistes qu’une figure d’autorité à suivre pour, un jour, détruire la République et former le plus Grand des Empires.
La puissance de chaque faction fluctue selon les événements, et il n’est pas rare que l’un ou l’autre sénateur change de faction selon ses objectifs, ou qu’une faction s’allie temporairement à une autre. C’est là toute la subtilité de l’appareil sénatorial valyrien : jusqu’à présent, aucune faction n’a jamais eu suffisamment de pouvoir que pour imposer ses envies aux autres. Et si toutes rêvent de ces pleins pouvoir, elles craignent également ces conséquences…
Le Conseil des Cinq représente les dirigeants officiels de la République. Elu par le Sénat pour une période de cinq ans renouvelables, ses membres sont les plus influents de tout le pays, puisque ce sont eux qui décident quelles motions faire voter par le Sénat. En effet, si celui-ci peut proposer des lois aux Conseil, lui seul est à même de décider si oui ou non ils les feront voter. Même si, traditionnellement, ses membres sont choisis au sein même du Sénat, il peut arriver que ce choix soit différent. Ainsi, en plus du traditionnel vote sénatorial, un siège au Conseil peut être attribué par des moyens beaucoup plus rares :
֍ Nomination divine
L’histoire de Valyria est jalonnée de légendes liées aux Dieux et à leur champion. Si l’un d’entre eux devait réapparaître, il est évident que rien ne doit entraver son Destin, et un poste de Conseiller lui serait d’office attribué.
֍ Nomination par acclamation
En ces temps d’expansion et d’exploration, il est possible qu’un Valyrien devienne, par ses actes, sa droiture ou son pouvoir, incontournable pour le peuple tout entier. Dans ce cas, et si l’ensemble du peuple venait à scander l’honneur de cette personne, le Sénat se devrait de suivre l’incitation de ceux qu’il représente, et de nommer cette personne au Conseil sans autre forme de débat.
L’histoire de Valyria est jalonnée de légendes liées aux Dieux et à leur champion. Si l’un d’entre eux devait réapparaître, il est évident que rien ne doit entraver son Destin, et un poste de Conseiller lui serait d’office attribué.
֍ Nomination par acclamation
En ces temps d’expansion et d’exploration, il est possible qu’un Valyrien devienne, par ses actes, sa droiture ou son pouvoir, incontournable pour le peuple tout entier. Dans ce cas, et si l’ensemble du peuple venait à scander l’honneur de cette personne, le Sénat se devrait de suivre l’incitation de ceux qu’il représente, et de nommer cette personne au Conseil sans autre forme de débat.