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Afin de permettre à leur civilisation naissante de prospérer, les Valyriens ont édicté un code de lois complexe et développé permettant à tous les citoyens de pouvoir s'y référer et d'être, en principe, traités selon un principe d'égalité. S'il ne s'agit pas dans cette annexe de présenter le Code Pénal de Valyria, il nous est apparu intéressant pour les nouveaux joueurs comme pour les plus expérimentés de mettre en emphase les lois spécifiques de la République qui peuvent être considérées comme importante dans le jeu.
Valyria n'étant pas un régime communiste ou une république moderne, il est bien entendu de mise de rester lucide sur les principes d'égalité soutenus dans les lois suivantes. Un noble ou un riche marchand aura toujours plus de possibilités qu'un simple citoyen anonyme. A chaque fois que seront mentionnés des principes d'égalité, il est donc important de garder à l'esprit que ce sont justement des principes et non pas une règle absolue.
Les lois civiles
Le droit à la parole
• Dans Valyria, le droit à la parole est celui de la voix. Chaque citoyen dispose en principe d'une voix égale et peut la faire entendre dans n'importe quel cas. L'oral étant très important à Valyria, le droit à la parole revient à un droit d'exister.
• Celui-ci ne concerne évidemment que les citoyens Valyriens libres. Les esclaves et les étrangers (sauf rares exceptions) ne sont donc pas concernés.
L'interdiction du commerce d'oeuf de dragons
• Si les dragons sont les cadeaux des dieux, ils sont surtout une source de puissance absolu pour les Valyriens. Apanage de la noblesse, un dragon ne s'achète pas : il se mérite, en dressant une créature sauvage.
• De la même façon qu'il serait inacceptable qu'un non-Valyrien monte un jour un dragon, le commerce, le trafic et le recel d'oeufs de dragons ou de jeunes dragons est formellement interdit.
• Il est considéré comme un crime sacré et les peines sont parmi les plus sévères des lois valyriennes.
L'héritage
• La notion de primogéniture a traditionnellement court dans les terres valyriennes : l'aîné est considéré comme étant l'héritier naturel.
• En ce qui concerne le genre, la loi ne statue pas dessus et il est traditionnellement considéré que les hommes et les femmes héritent selon un principe d'égalité.
• Un héritier peut également être désigné tant que la personne perdant sa place d'héritage est notifiée.
• Les enfants nés hors mariage, dits bâtards, n'héritent pas et ne sont pas considéré dans la ligne de succession sauf s'ils sont désignés ou qu'ils parviennent à chevaucher un dragon.
Les lois religieuses
Aucune religion d'état
• Si la religion est une composante notoire de la culture valyrienne, il est important de noter que les élites de la République sont assez peu engagées dans la foi. Une grande tolérance religieuse règne en Valyria et toutes les religions sont libres d'être pratiquées au grand jour.
• Il existe toutefois une proéminence naturelle de la religion valyrienne qui rythme la vie de la Cité. Tous sont tenus d'assister aux célébrations.
Les lois martiales
Service militaire
• Tout citoyen valyrien, noble ou non, homme ou femme, est tenu de passer au moins une année dans les armées de la République afin de participer à la possible défense du territoire.
• Ceux ayant les moyens peuvent envoyer à leur place deux personnes les remplacer, à condition de leur verser une compensation en or pour le temps engagé.
• Les esclaves peuvent être envoyés pour remplacer leurs maîtres et, le cas échéant, doivent être pris en charge intégralement par ces derniers.
• Les apprentis Mages et les novices des temples valyriens sont dispensés de service militaire.
Les lois sociales
Droit d'audience des familles nobles
• Toute personne pouvant se revendiquer noble peut, en principe, demander une audience au Sénat valyrien pour présenter une doléance ou l'avis des sénateurs pour trancher un différend. Il est important de noter que l'avis qui est rendu par l'assemblée est sans appel possible et doit être appliqué tel qu'énoncé. Une situation inédite peut également faire force de loi à l'avenir (principe de jurisprudence).
Les lois magiques
Obligation de responsabilité
• Les mages sont toujours tenus pour responsables des sorts qu'ils lancent.
• Il est du devoir du Magister du Collège des Mages de cadrer les adeptes de la magie. Tout manquement provoquant le désordre dans la Cité peut lui être incombé.
Interdiction de politique
• L'usage de la magie dans le Sénat est formellement interdite.
• Un Mage ne peut pas être Sénateur.
Valyria n'étant pas un régime communiste ou une république moderne, il est bien entendu de mise de rester lucide sur les principes d'égalité soutenus dans les lois suivantes. Un noble ou un riche marchand aura toujours plus de possibilités qu'un simple citoyen anonyme. A chaque fois que seront mentionnés des principes d'égalité, il est donc important de garder à l'esprit que ce sont justement des principes et non pas une règle absolue.
• Dans Valyria, le droit à la parole est celui de la voix. Chaque citoyen dispose en principe d'une voix égale et peut la faire entendre dans n'importe quel cas. L'oral étant très important à Valyria, le droit à la parole revient à un droit d'exister.
• Celui-ci ne concerne évidemment que les citoyens Valyriens libres. Les esclaves et les étrangers (sauf rares exceptions) ne sont donc pas concernés.
• Si les dragons sont les cadeaux des dieux, ils sont surtout une source de puissance absolu pour les Valyriens. Apanage de la noblesse, un dragon ne s'achète pas : il se mérite, en dressant une créature sauvage.
• De la même façon qu'il serait inacceptable qu'un non-Valyrien monte un jour un dragon, le commerce, le trafic et le recel d'oeufs de dragons ou de jeunes dragons est formellement interdit.
• Il est considéré comme un crime sacré et les peines sont parmi les plus sévères des lois valyriennes.
• La notion de primogéniture a traditionnellement court dans les terres valyriennes : l'aîné est considéré comme étant l'héritier naturel.
• En ce qui concerne le genre, la loi ne statue pas dessus et il est traditionnellement considéré que les hommes et les femmes héritent selon un principe d'égalité.
• Un héritier peut également être désigné tant que la personne perdant sa place d'héritage est notifiée.
• Les enfants nés hors mariage, dits bâtards, n'héritent pas et ne sont pas considéré dans la ligne de succession sauf s'ils sont désignés ou qu'ils parviennent à chevaucher un dragon.
• Si la religion est une composante notoire de la culture valyrienne, il est important de noter que les élites de la République sont assez peu engagées dans la foi. Une grande tolérance religieuse règne en Valyria et toutes les religions sont libres d'être pratiquées au grand jour.
• Il existe toutefois une proéminence naturelle de la religion valyrienne qui rythme la vie de la Cité. Tous sont tenus d'assister aux célébrations.
• Tout citoyen valyrien, noble ou non, homme ou femme, est tenu de passer au moins une année dans les armées de la République afin de participer à la possible défense du territoire.
• Ceux ayant les moyens peuvent envoyer à leur place deux personnes les remplacer, à condition de leur verser une compensation en or pour le temps engagé.
• Les esclaves peuvent être envoyés pour remplacer leurs maîtres et, le cas échéant, doivent être pris en charge intégralement par ces derniers.
• Les apprentis Mages et les novices des temples valyriens sont dispensés de service militaire.
• Toute personne pouvant se revendiquer noble peut, en principe, demander une audience au Sénat valyrien pour présenter une doléance ou l'avis des sénateurs pour trancher un différend. Il est important de noter que l'avis qui est rendu par l'assemblée est sans appel possible et doit être appliqué tel qu'énoncé. Une situation inédite peut également faire force de loi à l'avenir (principe de jurisprudence).
• Les mages sont toujours tenus pour responsables des sorts qu'ils lancent.
• Il est du devoir du Magister du Collège des Mages de cadrer les adeptes de la magie. Tout manquement provoquant le désordre dans la Cité peut lui être incombé.
• L'usage de la magie dans le Sénat est formellement interdite.
• Un Mage ne peut pas être Sénateur.