les Maerion sont l’une des grandes familles de Valyria et sont considérés comme l’une des plus violentes. Ils font partie de l’appareil politique depuis des siècles et conservent une assise importante dans la capitale. Ils tirent leur richesse des nombreuses mines qui se trouvent sur leurs terres, situées non loin de la ville. Les Maerion entretiennent des liens solides, bien que discrets, avec la guilde des contremaîtres et voient d’un très bon œil l’afflux d’esclaves qui vont décupler la productivité de ces dernières. Au fil de leur histoire, les Maerion ont plusieurs fois vu un des leurs élu à Sylvio Ōño pour diriger la péninsule. Ils ont également fourni plusieurs grand prêtres d’Arrax et de Balerion, ainsi qu’un Magister du Collège des Mages. Aujourd’hui, outre leurs mines, les Maerion disposent d’un réseau impressionnant de relations et de personnes leur devant des « services » et d’autres leurs offrant des « gages de respects ». Certains disent que leurs gardes ont la fâcheuse tendance à faire disparaître les plus rétifs à leur autorité, y compris dans les bas-quartiers. Dans les hautes sphères du pouvoir, la plupart des personnes savent que lorsqu’un cadavre est retrouvé avec la langue tranchée, c’est qu’il s’agit de la marque des Maerion. Paradoxalement, ils ont un grand respect et une grande loyauté pour ceux avec qui ils traitent… même s’il vaut mieux garder une trace écrite de tout accord passé avec eux.
Famille typique du Sud de la Valyria, les Maerion pratiquent le mariage incestueux depuis des siècles et sont très vigilants à la pureté de leur sang. Les mariages en dehors du cercle familial sont rarissimes et sont soigneusement consignés dans les chroniques familiales pour éviter tout affaiblissement trop rapide de la lignée.
Aerys tire grande fierté de son nom et de ses illustres ancêtres, il compte faire tout ce qui est en son pouvoir pour contribuer à cette grandeur. Il se sent écrasé par le prestige de son père, sénateur et seigneur-dragon reconnu auquel tous font référence avec un respect teinté de crainte tant on dit son influence grande à la capitale. Il a longtemps espéré surpasser son frère aîné dans l’affection de leur père, mais sans succès. Jaehaegaron a toujours été meilleur duelliste, meilleur politicien et meilleur monteur de dragon. Il s’est toujours distingué comme étant le meilleur héritier que leur père aurait pu espérer. Aeron est le deuxième né du puissant seigneur-dragon Arraxios et de sa sœur-épouse Vhaenyra, dont la lignée peut être tracée jusqu’aux débuts de la révolte des Dragons Verts. Ce lignage lourd à porter reste une grande fierté pour l’intégralité des Maerion qui rappellent souvent leur histoire.
Famille : Grands-parents :
Aeramor Maerion (grand-père) & Naelasys Maerion (grand-mère)
Parents :
Arraxios Maerion (père) & Vhaenyra Maerion (mère)
Fratrie :
Jaehaegaron Maerion (frère aîné)
Vanarr Maerion (frère cadet)
Nelaemys Maerion (sœur cadette)
Daenyra Maerion (sœur cadette)
Famille typique du Sud de la Valyria, les Maerion pratiquent le mariage incestueux depuis des siècles et sont très vigilants à la pureté de leur sang. Les mariages en dehors du cercle familial sont rarissimes et sont soigneusement consignés dans les chroniques familiales pour éviter tout affaiblissement trop rapide de la lignée.
Aerys tire grande fierté de son nom et de ses illustres ancêtres, il compte faire tout ce qui est en son pouvoir pour contribuer à cette grandeur. Il se sent écrasé par le prestige de son père, sénateur et seigneur-dragon reconnu auquel tous font référence avec un respect teinté de crainte tant on dit son influence grande à la capitale. Il a longtemps espéré surpasser son frère aîné dans l’affection de leur père, mais sans succès. Jaehaegaron a toujours été meilleur duelliste, meilleur politicien et meilleur monteur de dragon. Il s’est toujours distingué comme étant le meilleur héritier que leur père aurait pu espérer. Aeron est le deuxième né du puissant seigneur-dragon Arraxios et de sa sœur-épouse Vhaenyra, dont la lignée peut être tracée jusqu’aux débuts de la révolte des Dragons Verts. Ce lignage lourd à porter reste une grande fierté pour l’intégralité des Maerion qui rappellent souvent leur histoire.
Famille : Grands-parents :
Aeramor Maerion (grand-père) & Naelasys Maerion (grand-mère)
Parents :
Arraxios Maerion (père) & Vhaenyra Maerion (mère)
Fratrie :
Jaehaegaron Maerion (frère aîné)
Vanarr Maerion (frère cadet)
Nelaemys Maerion (sœur cadette)
Daenyra Maerion (sœur cadette)
Valyria vient de remporter sa première grande victoire militaire ! Si certains en sont galvanisés, et poussent à de nouvelles conquêtes, d'autres prônent le retour aux fondamentaux et l'entre soi. Qu'en pensez-vous ?Penser ? Qu'en penser ? Vous êtes bien les premiers à me demander mon avis depuis longtemps *rire amer*. Que dire ? Oui, c'est indéniablement une grande victoire et nous pouvons probablement faire mieux mais n'oublions pas pourquoi nous nous sommes battus : pour les nôtres. Il est temps de revoir nos priorités. Les conquêtes ne pressent pas.... pour le moment.
La victoire est une bonne chose, mais de nombreuses rumeurs circulent quant à la façon dont cette paix a été signée. Certains disent que les Cellaeron ont un peu trop frayé avec les Ghiscaris, d'autres disent que le Conseil a été bien lâche de ne pas traiter directement avec la Harpie. Et vous ? Autant Cellaeron me met mal à l'aise, autant il faut lui reconnaître une certaine efficacité. Nous n'aurions guère eu le courage de pousser jusqu'à Ghis. La question est de savoir à quel point les Cellaeron étaient mouillés avant la guerre. S'ils ont trahis, ils doivent payer.
Le grand butin de guerre de celle remportée contre les Ghis est incontournablement l'arrivée des esclaves à Valyria. Cette nouveauté a-t-elle réveillé votre intérêt ou au contraire, vous a-t-elle dégoûtée ? Toute guerre est une opportunité. Ces pauvres diables sont avant tout nos anciens ennemis et nous ne devons montrer aucune pitié. Ils coûtent moins cher que des ouvriers et nous pouvons les faire travailler plus. Ils sont donc rentables et les mines Maerion ne s'en porteront que mieux. Il nous en faut plus.
La vie reprend un semblant de cours dans la péninsule et avec elle, les inimités de tout temps. Et vous ? Vous semble-t-il juste que les grandes dynasties des Fondateurs soient relayées au second plan ? Les grandes familles issues du développement de la démocratie ne menacent-elles pas l'équilibre de cette dernière ? Devrait-on entendre d'avantage les voix plus timides, qui ne demandent qu'à être entendues plus franchement ? Honnêtement... Je fais partie des grandes familles que vous attaquez. Non, nous sommes garants d'un pouvoir pluri-centenaire que certains voudraient récupérer pour eux. Il est évident que les vieilles dynasties sont amères, mais c'est ainsi. Comme les empires naissent et meurent, les familles ont un âge d'or. Pour les Fondateurs, il est derrière eux. Place au jeune sang ! Place à l'avenir !
La victoire est une bonne chose, mais de nombreuses rumeurs circulent quant à la façon dont cette paix a été signée. Certains disent que les Cellaeron ont un peu trop frayé avec les Ghiscaris, d'autres disent que le Conseil a été bien lâche de ne pas traiter directement avec la Harpie. Et vous ? Autant Cellaeron me met mal à l'aise, autant il faut lui reconnaître une certaine efficacité. Nous n'aurions guère eu le courage de pousser jusqu'à Ghis. La question est de savoir à quel point les Cellaeron étaient mouillés avant la guerre. S'ils ont trahis, ils doivent payer.
Le grand butin de guerre de celle remportée contre les Ghis est incontournablement l'arrivée des esclaves à Valyria. Cette nouveauté a-t-elle réveillé votre intérêt ou au contraire, vous a-t-elle dégoûtée ? Toute guerre est une opportunité. Ces pauvres diables sont avant tout nos anciens ennemis et nous ne devons montrer aucune pitié. Ils coûtent moins cher que des ouvriers et nous pouvons les faire travailler plus. Ils sont donc rentables et les mines Maerion ne s'en porteront que mieux. Il nous en faut plus.
La vie reprend un semblant de cours dans la péninsule et avec elle, les inimités de tout temps. Et vous ? Vous semble-t-il juste que les grandes dynasties des Fondateurs soient relayées au second plan ? Les grandes familles issues du développement de la démocratie ne menacent-elles pas l'équilibre de cette dernière ? Devrait-on entendre d'avantage les voix plus timides, qui ne demandent qu'à être entendues plus franchement ? Honnêtement... Je fais partie des grandes familles que vous attaquez. Non, nous sommes garants d'un pouvoir pluri-centenaire que certains voudraient récupérer pour eux. Il est évident que les vieilles dynasties sont amères, mais c'est ainsi. Comme les empires naissent et meurent, les familles ont un âge d'or. Pour les Fondateurs, il est derrière eux. Place au jeune sang ! Place à l'avenir !