Chère Cousine,
Je te prie d’excuser mon silence ma douce cousine. J’aurai souhaité pouvoir t’écrire mais mon clergé et les mages m’ont fortement conjuré de garder le lit. Ma blessure au bras a mis du temps à guérir. Sans doute est-ce là la marque de l’âge. Fort heureusement, j’ai pu quitter le temple de Tyraxès de Mhysa Faer au bout de trois semaines et j’ai enfin retrouver celles et ceux qui ont dû prier avec ardeur pour nous tous. Je vous écris alors depuis mon cher temple Tyraxès à Valyria. Ma chère Eraenys m’y a accueilli avec bonheur et soulagement. J’ai bien lu dans son regard qu’elle était fort heureuse que je sois revenue et qu’elle n’ait plus à tenir en partie du haut de sa petite taille le temple de Tyraxès.
Ma chère cousine, comment te portes-tu ? Es-tu, toi aussi retournée dans ton temple mère de Vermax ? Je crains que ton état fût semblable au mien et je prie la déesse pour qu’il ne soit pas pire. Dis-moi sans détour si tu as souffert de cauchemars et si nos combats face à ces êtres étranges ne t’ont pas laissé trop grandes blessures.
Mais ce n’est pas uniquement pour cela que je t’écris chère Maesella. Depuis que mon corps va mieux, je ne cesse de songer à la vision que nous à confier Caraxès. J’ai lu plusieurs fois les flammes pour interroger Tyraxès. Et je suis soulagée qu’elle se soit enfin ouverte à moi. J’ai revu dans les flammes ce dragon au-dessus de la mer mais ce n’était pas la bataille de Mhysa Faer comme si c’était en un autre temps. Je ne sais exactement ce que Tyraxès a voulu me confier. As-tu interrogé Vermax à ce sujet ?
Ma chère cousine, as-tu aussi eu vent de certains dires au sujet de la mort de ce pauvre ambassadeur d’Andalos ? Parle-t-on à ce propos ? Je crains que cet incident ait bien plus de conséquences sur notre chère République. J’espère que Tyraxès pourra se livrer à mes questionnements lors de mes lectures de flammes prochaines.
Je te prie d’excuser mon silence ma douce cousine. J’aurai souhaité pouvoir t’écrire mais mon clergé et les mages m’ont fortement conjuré de garder le lit. Ma blessure au bras a mis du temps à guérir. Sans doute est-ce là la marque de l’âge. Fort heureusement, j’ai pu quitter le temple de Tyraxès de Mhysa Faer au bout de trois semaines et j’ai enfin retrouver celles et ceux qui ont dû prier avec ardeur pour nous tous. Je vous écris alors depuis mon cher temple Tyraxès à Valyria. Ma chère Eraenys m’y a accueilli avec bonheur et soulagement. J’ai bien lu dans son regard qu’elle était fort heureuse que je sois revenue et qu’elle n’ait plus à tenir en partie du haut de sa petite taille le temple de Tyraxès.
Ma chère cousine, comment te portes-tu ? Es-tu, toi aussi retournée dans ton temple mère de Vermax ? Je crains que ton état fût semblable au mien et je prie la déesse pour qu’il ne soit pas pire. Dis-moi sans détour si tu as souffert de cauchemars et si nos combats face à ces êtres étranges ne t’ont pas laissé trop grandes blessures.
Mais ce n’est pas uniquement pour cela que je t’écris chère Maesella. Depuis que mon corps va mieux, je ne cesse de songer à la vision que nous à confier Caraxès. J’ai lu plusieurs fois les flammes pour interroger Tyraxès. Et je suis soulagée qu’elle se soit enfin ouverte à moi. J’ai revu dans les flammes ce dragon au-dessus de la mer mais ce n’était pas la bataille de Mhysa Faer comme si c’était en un autre temps. Je ne sais exactement ce que Tyraxès a voulu me confier. As-tu interrogé Vermax à ce sujet ?
Ma chère cousine, as-tu aussi eu vent de certains dires au sujet de la mort de ce pauvre ambassadeur d’Andalos ? Parle-t-on à ce propos ? Je crains que cet incident ait bien plus de conséquences sur notre chère République. J’espère que Tyraxès pourra se livrer à mes questionnements lors de mes lectures de flammes prochaines.