Choisir c’était renoncer et entre les élections de la Lumière de Sagesse et la distance que continuait de mettre entre eux son frère Aerys, Daenerys avait finalement fait son choix le jour du Rêve de Caraxès. Elle avait fait devant le s dieux et elle ne pouvait plus revenir là-dessus. Choisir c’était renoncer et Denerys épouserait son frère Jaehaegaron. En cela, elle se rangeait enfin du côté de son père et de l’unité familiale mais la jeune femme n’en oubliait pas pour autant le sacrifice qu’elle s’apprêtait à faire. Et elle comptait bien le révéler au grand jour et elle le ferait le jour de son mariage. Synthara le sentait d’ailleurs. La jeune dragonne de la dame Maerion était agitée dans le ciel de Valyria. Son vol laissait voir toute l’agitation qui secouait le cœur de la dernière-née. La dragonne le sentait, enfin celle qui la chevauchait parfois laisserait voir tout l’ampleur de son caractère et cela serait grandiose, à la hauteur du nom des Maerion. Mais avant le jour J, la jeune femme devait s’acquitter d’une tâche qui lui était bien personnelle.
La jeune dame-dragon se tenait devant sa psyché et un fin sourire se dessina enfin sur ses lèvres satisfaites de ce qu’elle voyait. Son esclave avait fait du bon travail et Hedjour le petit singe qu’elle avait acquit lorsqu’elle avait été au marché aux esclaves avec Hordar sauta sur son épaule l’air joyeux. La jeune femme passa ses doigts dans le pelage du petit animal et lui sourit. « Oui bien sûr tu vas venir. » fit alors la dame en passant un petit collier autour du cou de son familier et d’y accrocher une petite corde en guise de laisse. Après avoir attaché son petit singe et l’avoir gardé sur son épaule, la dame se leva et laissa son esclave tendre les pans de sa robe fluide. Elle traversa les couloirs de Castel Maerion et sortit dans la petite cour de la demeure où l’attendait la chaise à porteur qui l’attendait. Cette dernière devait la conduire jusqu’à la fosse où se trouvait sa dragonne. Pour une fois, Daenerys monterait Synthara pour se rendre auprès des maîtres verriers de la guilde des verriers.
La guilde des verriers, Daenerys en avait beaucoup entendue parler de part sa mère. Vhaenyra avait voulu faire l’acquisition d’une pièce magnifique mais elme lui était passée sous le nez, acheté par ni plus ni moins que sa mentor la princesse Alynera Vaekaron, maudit soit parfois les dynastes, voilà ce qu'elle s'était dit, a jeune Maerion. Alors cette fois-ci, ce serait vers les Maerion que tous les regards se tourneraient bientôt. La cadette des Maerion en rageait rien que d’y penser. Mais voilà que déjà le quartier o elle trouverait le plus grand nombre de maître-verrier se dessinait déjà sous ses yeux. De sa voix cristalline, la Maerion ordonna la descente à son amie et bientôt elle mit pied à terre dans un lieu sûr pour tous. Les dragons, même ceux qui n’étaient pas retournés à l’état sauvage pouvaient se montrer dangereux. Et Daenerys connaissait suffisamment Synthara pour savoir que cette dernière pouvait se montrer bien moins pacifique que sa cavalière. C’était bien là ‘une des principales différences entre Daenerys et la dragonne. Hedjour sur l’épaule, la jeune femme se dirigea vers les différents ateliers. Elle croisa quelques regards un peu intrigués et puis finalement elle s’arrêta devant l’un d’eux. « Garaevon Agyreos ? Excuse-moi de te déranger dans ton travail. Puis-je te parler ? » fit la jeune femme en voyant un jeune homme qui correspondait à peu près au descriptif que sa chère mère lui avait fait juste après qu’elle lui ait parlé de son idée. C’était aussi cette dernière qui lui avait soufflé le nom de l’apprenti maître verrier. Selon la Dame de Castel Maerion, Garaevon Agyreos était un artisan prometteur et capable de faire des pièces exceptionnelles et c’était ben là tout ce qu’elle lui demandait. Si elle devait se lier à Jaehaegaron devant les Quatorze flammes, elle se devait de lui offrir un cadeau des plus somptueux.
La jeune dame-dragon se tenait devant sa psyché et un fin sourire se dessina enfin sur ses lèvres satisfaites de ce qu’elle voyait. Son esclave avait fait du bon travail et Hedjour le petit singe qu’elle avait acquit lorsqu’elle avait été au marché aux esclaves avec Hordar sauta sur son épaule l’air joyeux. La jeune femme passa ses doigts dans le pelage du petit animal et lui sourit. « Oui bien sûr tu vas venir. » fit alors la dame en passant un petit collier autour du cou de son familier et d’y accrocher une petite corde en guise de laisse. Après avoir attaché son petit singe et l’avoir gardé sur son épaule, la dame se leva et laissa son esclave tendre les pans de sa robe fluide. Elle traversa les couloirs de Castel Maerion et sortit dans la petite cour de la demeure où l’attendait la chaise à porteur qui l’attendait. Cette dernière devait la conduire jusqu’à la fosse où se trouvait sa dragonne. Pour une fois, Daenerys monterait Synthara pour se rendre auprès des maîtres verriers de la guilde des verriers.
La guilde des verriers, Daenerys en avait beaucoup entendue parler de part sa mère. Vhaenyra avait voulu faire l’acquisition d’une pièce magnifique mais elme lui était passée sous le nez, acheté par ni plus ni moins que sa mentor la princesse Alynera Vaekaron, maudit soit parfois les dynastes, voilà ce qu'elle s'était dit, a jeune Maerion. Alors cette fois-ci, ce serait vers les Maerion que tous les regards se tourneraient bientôt. La cadette des Maerion en rageait rien que d’y penser. Mais voilà que déjà le quartier o elle trouverait le plus grand nombre de maître-verrier se dessinait déjà sous ses yeux. De sa voix cristalline, la Maerion ordonna la descente à son amie et bientôt elle mit pied à terre dans un lieu sûr pour tous. Les dragons, même ceux qui n’étaient pas retournés à l’état sauvage pouvaient se montrer dangereux. Et Daenerys connaissait suffisamment Synthara pour savoir que cette dernière pouvait se montrer bien moins pacifique que sa cavalière. C’était bien là ‘une des principales différences entre Daenerys et la dragonne. Hedjour sur l’épaule, la jeune femme se dirigea vers les différents ateliers. Elle croisa quelques regards un peu intrigués et puis finalement elle s’arrêta devant l’un d’eux. « Garaevon Agyreos ? Excuse-moi de te déranger dans ton travail. Puis-je te parler ? » fit la jeune femme en voyant un jeune homme qui correspondait à peu près au descriptif que sa chère mère lui avait fait juste après qu’elle lui ait parlé de son idée. C’était aussi cette dernière qui lui avait soufflé le nom de l’apprenti maître verrier. Selon la Dame de Castel Maerion, Garaevon Agyreos était un artisan prometteur et capable de faire des pièces exceptionnelles et c’était ben là tout ce qu’elle lui demandait. Si elle devait se lier à Jaehaegaron devant les Quatorze flammes, elle se devait de lui offrir un cadeau des plus somptueux.