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Vahaedar Altarys
Vahaedar Altarys
Citoyen

Vahaedar Altarysft. Eric Bana
Pseudo/surnom : Parvati
Âge : 29 ans  Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  690370254
Pays/région : Occitanie
Comment as tu connu le forum ? Voyons, voyons !
Un parrain ou marraine ? La réponse D ? Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  2995236538
Crédit avatar et gifs : Hellofriend (avatar)
Quelle est ta pâtisserie préférée ? Là, en ce moment, j’aimerais une pièce montée de choux à la crème. C’est possible ?
Un dernier mot pour la route ? Un certain Pascalus Obispus aurait chanté Je suis tombée pour elle et il avait bien raison Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  793189343  
avatar
Titres : Laniste, membre de la guilde des esclavagistes
Âge : 36 ans
Lieu de naissance : Ānagoria
Situation maritale : Récemment fiancé à Daera Melgaris.  
Statut du sang : Mêlé
Type de personnage : Inventé
Groupe : Peuple

Caractère : Si l’homme n’est pas taciturne c’est uniquement car une ambition revancharde lui fait office de sang. Il arrachera coute que coute sa place dans la caldeira volcanique. À ces fins, il réfute l’idée déshonorante de ne pas être honorable : pour s’imposer face à la sacro-sainteté des Dragons rien n’est assez bas. Il gère son entreprise à la piécette près, dans la roublardise et la discrétion. Il n’a d’autre religion que son travail.

Les bâtards n’ont pas d’histoire. Les bâtards n’ont pas d’histoire. Il ne prennent ni le nom de leur père, ni le nom de leur mère. Les plus érudits pourront chercher, ils ne trouveront rien sur la gens Altarys. Elle est née dans le cœur d’un seul homme, d’une seule revanche, d’une seule ambition. 


Maerya Tarareon n’avait pas encore connue les joies de Meleys lorsque son sang cessa de couler. Elle était née dans une famille militaire, l’une de celle qui garde jalousement l’entrée des hautes Montagnes Peintes. Après sa mort on a dit que c’était une jolie fille, probablement comme toutes celles de cet âge dont le nectar demeure à cueillir. Elle était promise depuis son plus jeune âge à une riche famille de Draconys, des marchands de soie. L’enfant ne se maria jamais. Des secrets des femmes elle ne connaissait rien, pas grand chose, quelques baisers longs. Cela suffit. Un après-midi, dans le gynécée, une douleur à mourir poussa entre ses jambes. Sous les yeux ébahis de sa mère, son ventre devint énorme en un instant. Un garçon était né. Les Tarareon dont la fierté était moulée dans la cuirasse valyrienne, voulurent proclamer que Gaelithox s’était métamorphosé dans une pluie d’or pour enfanter leur fille vierge. Hélas, ce mensonge ne leur apporterait nul accord. Ils descendirent jusqu’à Draconys exposer les faits. Ils réclamèrent réparation pour la chasteté perdue de leur fille. La famille de Draconys refusa la mère et l’enfant. Comment pouvait-elle être certaine qu’il était leur descendance ? Maerya ne revint jamais du voyage. Elle coula au fond de la mer d’Été, les pieds et les mains attachés à une grosse pierre. Le nourrisson, lui, fut confié à une branche cadette stérile. Et, dès son plus jeune âge, il fut envoyé dans une caserne pour y apprendre les arts de la guerre. Pour lui, les choses de l’avenir ne changèrent pas vraiment.

Altarys ne vint que plus tard. Lorsqu’il retourna à Ānagoria, à défaut d’une Épreuve du Feu en grande pompe, l'enfant fut marqué au fer rouge par l'opprobre collective. Il vécut ses premières années avec une rage du cœur peu commune. Sa violence était telle qu’il fut renvoyé de la caserne. Et un soir, par une nuit sans étoiles, on le déposa devant la demeure d’Aekar le rude. Un vulgaire paquet, d’une main à une autre. Là-bas, on lui demanda son nom. Mais le bâtard n’avait pas de nom, il n’en avait jamais vraiment eu. Aussi, puisqu’il était sacrifié sur l’altar de la destinée, il inscrivit sur le registre « Altarys. » À partir de cet instant, celle où l’encre noire pénétra la peau du parchemin, il sut qu’il se vengerait des siens. Il se façonnerait une destinée, comme les Tyranos l’avaient fait. Il s’appliqua. Il mit sa rage dans la précision de ses mouvements, dans l’application des exercices, dans la méditation de cet art mortuaire. Du reste, il ne craignait pas la mort. La mort ne prenait que ceux dont elle connaissait le nom.

Vingt-quatre. Ce sont les années que durèrent son apprentissage et sa loyauté aux Fils du Feu. Il avait travaillé dur, implacablement, pour espérer faire briller dans les yeux de son Maître quelque fierté. Les premières années, il avait récuré les latrines pour payer sa pension. Avec le temps d’autres avaient pris sa place et il avait commencé à partir pour des missions. Alors, iil gagnait un petit pécule qu'il dépensait parfois dans les bordels, parfois dans la bière, mais, la plupart du temps, qu'il économisait avec avarice. Il portait son bouclier, rouge et orange, avec un port tout princier. De sa vie d'avant il n'avait guère de remembrances. La première fois qu’il vu un éléphant, pourtant, il pensa à sa mère. Sans sa condamnation, il n’aurait peut-être jamais vu cette créature qu’il considérait comme un merveille du monde... Puis, la guerre éclata. La Harpie vint mettre leur entrainement élitiste à l’épreuve. Mais le Tortionnaire était un génie et les années passèrent, l’une après l’autre, sans que la mort ne vienne le trouver. Peut-être ne connaissait-elle toujours pas son nom. Ou peut-être étaient-ils trop étincelants pour qu'elle les voit. Elle ne vint ni prendre Daemon, ni Sozlana.



Après la guerre, le bâtard prit sa retraite. Le sac du vieil Empire avait sa fortune. Pour la première fois depuis sa naissance, son nom lui appartenait. Certes, il était un parvenu. Aussi, tout comme un bon parvenu, il avait racheté quelques maisons, pas très avenantes, pour les transformer en ludus. De Ghis, il avait rapporté des guerriers monumentaux. Ils avaient tous leur particularités et certains avaient eux-mêmes été esclaves ghiscaris. À côté, il y avait eu la vente des enfants. Leurs petits corps, leurs petites mains, leur agilité, leur permettait de s’enfoncer dans les mines, de creuser des tunnels, des chambres, où les adultes ne pouvaient se rend. Au marché on les lui avaient arrachés à prix d'or. Il ne tirait pas d’orgueil à vendre ces pauvres hères, mais là était le prix à payer pour monter dans les hautes sphères. Et les hautes sphères seraient périlleuses car désormais la mort connaissait son nom. Vahaedar Altarys.

Généalogie:

Que pensez-vous de l’esclavage à Valyria ? Toute nouvelle économie est une bonne chose. Je dirais que les esclaves sont une opportunité à saisir — et pour une fois que les aristocrates répugnent à s'accorder la richesse, il serait insensé de s'en priver ! Le statut d'esclave est honorable : la liberté peut être gagnée si les ennemis d’hier montrent assez de talents, d’obéissance et d’acclimatation. Et puis, c’est une excellente manière de sélectionner naturellement les meilleurs hommes dans une société où la force est une vertu primordiale.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ? Si tu m'avais posé la question directement j’aurais peut-être répondu, mais puisque ce n’est pas le cas… Je dirais simplement « Dragon, prends garde aux chiens. »
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ? Une fumisterie illusoire ! Les Dragons se contrefichent des factions ! Quand la nuit vient tous ces ennemis sénatoriaux se baisent entre eux et au petit matin ils demeurent les maitres des cieux

Vahaedar Altarys
Vahaedar Altarys
Citoyen

Vahaedar Altarysle peuple est l'arbitre de la mort
Valyria, de nos heureux jours.

Il secoua ses mains avec ardeur pour détacher la graisse de ses doigts. Les deux coudes sur la table, il régnait dans la petite pièce en maître. Ses yeux brun, implacables, se posèrent sur l’homme. L’invité était tardif, inopportun et inattendu. Vahaedar Altarys n’aimait pas être dérangé. Il considérait le temps comme un mécanisme délicat, celui-ci devait être réparti consciencieusement. Et dans cet emploi du temps minutieux, la première soirée de la semaine était le seul moment où il acceptait de dépenser quelques piécettes supplémentaires pour manger sa volaille. Petite dépense rondelette pour un homme avare. Il grogna, c’était trop tard, le goût de son souper était désormais gâché. 


« Pourquoi veux-tu devenir esclave ? »



La lumière de la chandelle était faible, mais il pouvait voir qui il avait en face de lui. Il connaissait l’homme depuis de nombreux mois maintenant. Il n’était, d’ailleurs, pas totalement innocent dans la raison de cette venue nocturne. Mais dans ce monde hiérarchisé jusqu’à l’odeur de la merde dans les latrines, il n’allait pas avoir de remords pour la faiblesse de plus aisé. Dans ce cas précis, la faiblesse l’enrichirait bientôt de plusieurs bourses de pièces d’or. Le laniste savait très bien pourquoi l’homme devait, et non voulait, devenir esclave. C’était une belle prise, la meilleure, la plus goutue probablement de sa jeune carrière. Il lécha son pouce, dont l’ongle noir n’avait pas encore été récuré. 


« Je dois fuir mes créanciers. »



Et plus encore, pensa-t-il en salivant la graisse de canard. Le plébéien avait contracté des dettes coquettes, c’était un fait désormais notoirement connu des Possessions. Le jeune homme venait d’être mis au ban de cette société, dure et implacable, qui, plus que le chaos, détestait qu’un individu vienne de trop près chatouiller sa réputation. Il se racontait que son dragon avait été tué à la guerre et que la tristesse l’avait conduit dans les tourments des bordels de Draconys. Et puis, quatre ans plus tard, il s’était retrouvé avec des dettes valant plus chères que le commerce de son père… dont il n’hérita pas. Acculé, la mort était son dernier choix possible. Il n’y avait rien là rien d’héroïque. 


« Et ? »



Derrière son air bravache, Vahaedar savait qu’il l’accepterait parmi ses rangs. L’affaire était trop belle. Lui qui n’était un homme de rien, un bâtard détestable, un homme à la pureté du sang souillée, ancien mercenaire sanguinaire, allait faire d’un homme du monde un homme de rien. Du reste, il avait travaillé trop longtemps pour que cette manigance n’arrive pas. Il y avait laissée une grande partie de la petite fortune qu’il s’était faite à Meereen. Enfin, la vengeance, contrairement à  sa volaille du soir, était un plat qui se dégustait froid. Voir son projet, enfin, se réaliser aurait pu noyer son orgueil de satisfaction… si ses ambitions n’avaient pas été plus grandes encore. Dans quelques mois, ses hommes ouvriraient les jeux de la Grande Arène. Lui, le bâtard dont personne n’avait voulu, allait donner un spectacle si grandiose, si vilain, que les Quatorze descendraient eux-même se repaître du sang versé par ses jeux ! Il ne les vénérait pas. Toutes ces histoires étaient bonnes pour assoir le pouvoir des riches et la peur des pauvres. Il n’était ni l’un, ni l’autre. D’ailleurs, il n’était pas grand chose dans ce vaste monde. Un mortel né pour mourir. 


« Je veux une mort honorable. »


Vahaedar partit d’un rire franche. Allons, donc ! il n’y avait que les privilégiés de ce monde pour être capable de sortir encore des balivernes de ce genre. 


« Pour ça il aurait fallu mourir sous une lame ghiscarie, tu ne crois pas ? »

Ou dans les bras d’une femme plus belle et mieux faite que ta sœur, aurait-il préféré dire. Il s’abstint cependant. Il n’était pas encore tout à faire certain du sort à réserver à le jeune fille. Pendant un temps, il avait réfléchi à la ravir en épousailles. Le frère dans l’arène et la sœur dans les gradins, sûr que le vieux marchand en serait mort de honte grandiose mais il aurait pu également, lui-même, en mourir d’orgueil. Il ne fallait pas jouer trop près du feu, leur maigre sang pouvait s’y brûler ! De toute manière la question du mariage était scellée depuis qu’il était lui-même fiancé. Fiancé, quel drôle de mot… à une drôlesse qui plus est ! En pensant aux fesses de sa promise, Vahaedar se renfrogna. Celle-là ne serait pas facile et, là encore, c’était en partie de sa faute. Il aurait du s’abstenir de lui apprendre à lire et à écrire alors qu’elle n’était qu’une gamine tout juste sortie du lupanar de sa mère. Désormais, elle avait gravi les échelons de la petite société, celle du bas, et n’avait que des mots ambitieux à la bouche. Deux bâtards, deux oiseaux de mauvaise vie, voilà qui était un excellent parti ! Ses dents bruxèrent, la mâchoire contractée. Il n’était pas bon de trop penser aux femmes. Pendant ce laps de temps, le sot, lui, n’avait rien répondu. Il s'était contenté d'hausser les épaules, signifiant que sa vie d’avant n’avait plus grande importance.



« Bon. Je paierai les dettes de tes créanciers. Quant à celles que tu me dois, grandes, je devrais louer tes services. Tu feras le bonheur de ces dragonnes, se faire culbuter par un ancien citoyen voilà qui devrait les divertir de nombreuses nuits. Je veux que leurs époux, lorsqu’elles rentreront titubantes, en crèvent de jalousie. Ils déverseront leurs pétales d’or pour venir te voir dans la Grande Arène. »



La Grande Arène… les Quatorze seuls savaient lorsqu’elle ouvrirait ! Cette dispute des factions n’était pas bonne pour ses affaires. Bleus, Jaunes, Rouges, ils pouvaient bien se peinturlurer entre eux, il s’en foutait dynastiquement ! Bien sûr, officiellement, il soutenait le Castel. Les Maerion étaient la clef de sa petite entreprise. Sans eux, couick, autant devenir eunuque ! Mais enfin, l'homme-bientôt-esclave devait bien se foutre de ces problèmes qui appartenaient aux hommes libres. Et libre, Vahaedar l’était certainement. Il était Rouge dans la journée, Bleu pendant la nuit et Jaune… pratiquement tout le temps. Était-ce sa faute si les bâtards ne voyaient pas les couleurs du monde ? 


« Ils verseront peut-être pour te voir forniquer avec elles, mais nous verrons bien ce que leur lubricité nous réserve. Ce soir, tu dors. Demain, tu choisiras comment tu veux combattre. Nous t’entraînerons, beaucoup. Si tu deviens populaire, et crois-moi tu le seras, tu gagneras peut-être ta liberté plus vite que prévue… »



« Comment ? »



Comment ? De la même manière que lui avait gagné la sienne, en se brisant les ongles, en dégustant le sol à chaque claque supplémentaire. Vahaedar observa sa nouvelle recrue avec cynisme alors qu’il se résolu à définitivement abandonner son canard. Après s'être grassement essuyé la bouche, il se leva pour chercher l’auctoratio. Le contrat qui ferait de lui son esclave pour de nombreux combats. Il aurait du être à sa place, si le père de ce dernier ne les avait pas chassés sa pauvre mère et lui. Il toisa avec dégoût ce frère qu'il aurait du avoir ou qu’il aurait du être. Lui n’aurait jamais gâché sa vie comme ce scélérat, jamais ! Mais puisque leur père n’avait pas été prêt à l’accepter, alors il accepterait sa fratrie. Ici, dans le sable, la sueur, les larmes et le sang. 


« Tu commences par signer ici. Tu écris ton nom et prénom, tu t’engages pour quarante combats civiques. Ces combats ne comprennent pas les représentations privées. Si tu survis, tu retrouveras ta liberté. Je remettrai ce contrat demain à la guilde, il sera présenté devant le Sénat. Alors choisis un bon nom de combattant, pour garder un peu de dignité. Dans quelques années, si tu es devenu un héros alors tu pourras travailler pour moi ou faire ce qui te chantes. Il n’y a pas de femme dans ce ludus, sauf la mienne, et les femmes qui viendront vous entrainer à être des hommes métamorphosé Meleys. Ta vie d'avant tu dois l'oublier, pour toujours. Même quand tu retrouveras ta liberté, si tu le dois, tu ne seras plus un citoyen mais un métèque. Tu veux une mort honorable, mais tu es déjà mort. Suis-je clair ? »



Il était un bon magister, ses années d’expérience dans la meilleure compagnie de mercenaires du monde n’y était pas pour rien. Marchandise précieuse — valant plus de l’or puisqu’il fallait les nourrir, les loger, les entraîner, les habiller, les soigner — il prenait soin de ses hommes, mais ne tolérerait qu’aucun ne touche à Daera ou enfreigne les règles simples du ludus. Il lui tandis le pot d’encre et une plume, l’observant remplir et signer. Il avait attendu cette vengeance depuis trente-six années.



« Bien, bien. Bienvenue à toi… Balerion… dans le meilleur ludus des Possessions, et par là-même de tout le monde connu ! »

Bienvenue petit frère, toi et moi, tu ne le sais pas encore, mais nous allons accomplir de très grandes choses.
 

Jaenera Valineon
Jaenera Valineon
Mage

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t1347-jaenera-valineon-ar
Re bienvenue ma chère :)
Daemon Tyvaros
Daemon Tyvaros
Le Tortionnaire

Rebienvenue avec ce superbe personnage-copain Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  2043654651
Voix de l'Ombre
Voix de l'Ombre
Admin


Bienvenue Vahaedar Altarys !validation, douce validation
C'est bon, c'est fait. Te voici validé(e). Bravo ! Ce petit picotement que tu ressens est celui du début d'une aventure où tu rencontreras des personnages et des créatures incroyables. Te sens-tu prêt(e) à nous rejoindre ? On espère que oui car le grand moment est arrivé !

Ton personnage, Vahaedar Altarys, va désormais rejoindre le Peuple de notre belle Valyria pour devenir l'un de ses membres les plus illustres, espérons-le !

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Le Mot du Staff
par Valou'
Tu as toujours d'aussi belles idées et ce personnage ô combien novateur va bouleverser le paysage ! Hâte de le voir en action avec tous les acteurs de notre belle Valyria  Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  1103754796  

Daenyra Tergaryon
Daenyra Tergaryon
Dame-Dragon

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t520-daenyra-tergaryon-th
Ô ma douce ! Ma belle ! Ma splendide Parvati ! Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  3776989284

J'arrive bien tard pour découvrir ce si beau personnage ! Décidément, toutes tes idées sont à tomber ! Que j'ai hâte de voir tout ça ! Je te souhaite rebienvenue à la maison et félicitations pour la validation de ta fiche Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  2043654651 Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  2991234872

Des poutous tout doux Vahaedar Altarys - Dragon, prends garde aux chiens  408511402
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