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Nom du personnageft. avatars
Pseudo/surnom : Lorn
Âge : 33 ans
Pays/région : Angers - France
Comment as tu connu le forum ? Grâce à Aeganon Bellarys
Un parrain ou marraine ? /
Crédit avatar et gifs : Crédit Indi
Quelle est ta pâtisserie préférée ? Toutes ?
Un dernier mot pour la route ? Pas pour le moment, mais ça va venir.
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Titres : Seigneur Dragon, Sénateur, dit «  le Téméraire »
Âge : 28 ans
Lieu de naissance : Palais Hoskagon (Cité de Valyria)
Situation maritale : Célibataire, officieusement promis à sa soeur Elaena
Statut du sang : Mêlé
Type de personnage : PV
Groupe : Armée
Caractère : Stratège - Combatif - Attentionné - Distant - Fier - Meneur d'hommes - Passionné - Indépendant - Attaché à sa famille - Cultivé - Protecteur -Aimable - Sanguin - Peut être violent

La famille
Ici tu parles de ta famille, de son histoire, de ses travers, comme de ses gloires. La famille Tergaryon est l’une des plus anciennes et des plus puissantes familles du sud de la péninsule valyrienne. Originaire du sud de la péninsule, les Tergaryon disposent d’une influence indéniable. Famille de conquérants, ils se sont illustrés dans les premiers siècles de la fondation de Valyria et la conquête des nouveaux territoires. Avant tout connectés au monde politique de Valyria, les membres de la famille n’en sont pas moins d’excellents négociateurs et n’ont eu de cesse de faire accroître la fortune familiale.

Vaegon Tergaryon fut promis à Saera Vaelarys, fille d’une riche et puissante famille originaire des régions du Nord et à présent maîtresse de la ville d’Oros. Baerion Vaelarys, archonte de la ville d’Oros, conclut un accord plus que profitable aux deux familles et le troisième fils de cette famille si prestigieux quitta les doux rivages du Sud pour la ville d’Oros.

Les Tergaryon étant de fervents adeptes du mariage incestueux pour les enfants ainés, ils ont cependant dérogé à cette règle pour le mariage de leur troisième fils, la perspective d’une alliance avec la famille maîtresse d’une cité richissime et prospère ayant eu raison de leur frilosité naturelle. Si les Vaelarys ont longtemps observé cette même tradition, influencés par leurs racines sudistes, ils se sont progressivement liés à d’autres familles, élargissant leur influence et leur permettant d’obtenir et conserver le pouvoir dans la ville d’Oros.

Alors que les Tergaryon tirent leur puissance du prestige de leur nom et de leur influence à Valyria, la puissance des Vaelarys est issue de la richesse de la ville d’Oros dont ils ont réussi à conserver la maîtrise depuis deux générations, fait rarissime pour une cité qui ne reconnait pas de maîtres héréditaires. Influencés par le mélange unique de cultures nordistes et sudistes qui règnent dans les plaines du centre, les Vaelarys tirent avantage de cette position unique pour se lier à des familles tant du Nord, que du Sud.


Arrière grands-parents :
Parents de Rhaenar & Aelya Tergaryon
Rhaenar Tergaryon (arrière grand-père paternel) - Sénateur
∞Eleana Tergaryon (arrière grand-mère paternelle) - née Eleana Tergaryon (épouse de son frère)

Parents de Baerion & Rhaelys Vaelarys
Jaeharion Vaelarys - Sénateur
∞Rhaenys Vaelarys - née Rhaenys Vaelarys (épouse de son frère)

Grands parents :
Rhaenar Tergaryon II
∞Aelya Tergaryon - née Aelya Tergaryon (épouse de son frère)

Baerion Vaelarys  - Archonte choisi de la ville d’Oros
∞ Rhaelys Vaelarys  - née Rhaelys Vaelarys (épouse de son frère)


Parents :
Vaegon Tergaryon - Sénateur, chef de la faction des Mercantiles
∞ Saera Tergaryon - née Saera Vaelarys

- Aenar Tergaryon (frère) - mort durant la 1ère guerre contre l’Empire Ghiscari
- Maekar Tergaryon  - Seigneur Dragon, militaire
- Eleana Tergaryon
- Daenyra Tergaryon - Novice au collège des Mages
- Maerion Tergaryon

Nom du Dragon : Kyraxes
Age : 28 ans
Couleurs : Rouge et noir
Brève description : Maekar aime à penser que Kyraxes est la dernière ombre, la dernière chose que voient ses adversaires avant qu'ils ne soient réduits en cendres et, même de son point de vue, Maekae comprend que cette dernière vision puisse être terrifiante. Pour un dragon de son âge Kyraxes est assez grand et massif, d'une envergure impressionnante et au corps principalement couleur d'ébène, on peut néanmoins y déceler des parties éclairées d'un rouge des plus vifs. Kyraxes n'est peut-être pas le plus rapide de ces prédateurs volants en raison de sa taille,  il a sa robustesse et sa force pour lui, mais c'est surtout de sa connexion à Maekar que vient sa force.
Tout comme celui qui le chevauche, Kyraxes est l'un de ces prédateurs calmes et patients, il ne partage qu'une très petite partie de la fougue de ses jeunes congénères et préfère patienter avant de fondre sur sa proie, plutôt que de se ruer tête baissée. Seul il est un prédateur gigantesque et redoutable, mais avec Maekar sur son dos, leur symbiose est telle que rien ne leur résiste.
Autres dragons de la famille : Meghar - Dragon de Elaena
Que pensez-vous de l’esclavage à Valyria ? Je n'ai que faire des richesses et des possessions, qu'elles soient humaines ou matérielles. Ces esclaves sont une main-d’œuvre peu onéreuse et donc bien pratique, je vous l'accorde, mais je ne leur fais nullement confiance pour autant.  

Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ? Un futur glorieux, évidemment, où je pourrai enfin être réuni avec ma soeur.

Voyez-vous d’un bon œil l’influence de l’armée à Valyria ? Ayant moi-même rejoint les rangs de l'armée depuis maintenant plusieurs années, j'ai un avis assez biaisé sur la question. Mais, pour défendre les valeurs et la grandeur de notre nation, l'armée est un mal nécessaire.

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Maekar Tergaryonsous titre là
Son histoire L'avenir est ce que nous en faisons. Voilà une des premières phrases qui furent ancrées dans l'esprit du jeune Maekar  Tergaryon dés qu'il eut atteint l'âge de raison, comme un rappel de la nécessité de prendre son destin en main, afin de forger un avenir à la hauteur de la grandeur à laquelle il aspirait.

La plus grande difficulté d'un individu qui naissait dans ce monde était de trouver sa voie et de s'y tenir, de comprendre sa place dans ce monde afin de pouvoir forger la personne qu'il voudrait être plus tard mais,fort heureusement, le jeune Maekar fut presque totalement dépossédé de ce choix dés son plus jeune âge. Il n'eut pas à subir les affres de la faim ou de la solitude, il n'eut pas à lutter pour rester en vie comme bien d'autres malheureux eurent à le faire depuis des temps immémoriaux. Au lieu de cela il eut la chance de voir le jour dans une des plus riches familles de son pays avec un destin tout tracé et un héritage à honorer, aussi longtemps que son cœur battrait la mesure en tout cas. Il fut entouré d'autant d'amour et d'attention qu'un nouveau-né de son âge ne pourrait en demander et, dés qu'il fut assez vieux pour s'exprimer et faire preuve de réflexion, il lui furent inculquées les bases de son éducation à commencer  par son rôle dans cette famille et l'importance de la piété filiale. Il était alors trop jeune  pour comprendre le sens du mot déception mais il l'apprendrait bien assez vite, quand il comprit que son rôle dans cette famille serait limité et que, parmi tous ses frères et sœurs, ce serait sur son aîné Aenar que la lumière brillerait le plus.

Dés son plus jeune âge le jeune garçon fut contraint de comprendre et d'accepter sa place dans le monde mais, contrairement aux attentes de certains de ses parents, pas une fois il ne leva sa voix pour se rebeller contre cette injustice. Si son aîné était fougueux et impulsif, animé par un feu ardent que rien ne semblait pouvoir éteindre, Maekar fut rapidement désigné comme le plus calme, le plus réservé et le plus réfléchi du duo qui ferait la gloire de cette famille. En vérité il eut à cœur, dés son plus jeune âge, de se rapprocher le plus possible de la définition qu'on pourrait se faire d'un « bon fils » en laissant de côté toute individualité, tout désir secret, toute aspiration qui devait demeurer cachée à la face du monde. Ses précepteurs et ses parents eurent tôt fait de lui expliquer comment se passerait sa vie ainsi que l'importance du devoir et, tout bon fils qu'il se voulait être, Maekar eut tôt fait d'accepter silencieusement sans songer une seule fois à ce qu'il désirait réellement. Ses cinq premières années se passèrent donc sans surprise, faisant preuve d'une assiduité et d'un maintien exemplaire pour quelqu'un de son rang, mais son existence fut bientôt éclairée lorsque sa mère mit enfin au monde la personne qui deviendrait le centre de l'univers de Maekar pour les décennies à venir.

Sa petite sœur, Elaena Tergaryon.

Palais de l'Archonte, Oros ◊ An 1043

Dés que le jeune garçon posa ses yeux sur cet enfant souriant ses priorités changèrent en un instant car, si l'avenir de son aîné était tout tracé et s'il pouvait donc se permettre quelques libertés, Maekar comprit rapidement l'importance de montrer l'exemple et d'être le grand-frère qu'on attendait de lui. Bien sûr il se chamaillait souvent avec son aîné, n'importe quelle activité se tournait naturellement vers la compétition, mais bien vite Maekar se rendit compte que la plupart de ses pensées se dirigeaient naturellement vers celle dont il s'était naturellement donné le rôle de protecteur. Cela le frappa avec la force d'une claque en pleine figure le jour où, à peine âgé de plus de cinq ans, il se promena dans les jardins de la demeure familiale entre deux leçons, admirant la beauté de ces créations florales de son regard encore teinté d'innocence et de joie. Bien vite son regard capta le visage serein de sa mère et, d'instinct, le jeune garçon se dirigea vers elle sans se départir de ce petit sourire qui faisait son charme. Ce sourire s'élargit d'ailleurs lorsque Maekar posa les yeux sur sa nouvelle petite sœur, se rappelant à quel point les occasions avaient été rares d'être en sa compagnie depuis sa naissance, ou tout du moins sans avoir une foule de curieux tout autour. Sa génitrice capta sans mal son émerveillement et lui rendit son sourire, en lui proposant :

« Tu veux la prendre, Maekar ? Fais attention à sa tête. »

Le garçon fut réticent au début par crainte de lui faire mal ou de la faire tomber, aussi prévenant que d'habitude, mais il accepta bien vite et le temps sembla s'arrêter aussitôt que ses yeux se posèrent sur ce souriant bambin. Son sourire s'élargit davantage lorsque les mains potelées de ce nouveau-né tentèrent d'agripper son nez en souriant et, à cette vision de pure innocence, la mère de Maekar posa une main sur son épaule en lui soufflant :

« Lorsque le monde entier nous tourne le dos, sais-tu ce qu'il nous reste, mon fils  ?  »

Les précepteurs se chargeaient de l'éducation du second né de cette famille, de l'importance du devoir, mais n'était-ce pas le rôle d'une mère que de transmettre- elle aussi – son savoir et son amour à cet homme en devenir ? Le concerné fit preuve d'une sagesse certaine, pour son âge, en formulant la réponse que sa mère attendait de lui.

« La famille, mère.  »

« C'est bien cela, mon fils. Ton frère veillera sur notre famille toute entière lorsque nous ne serons plus là, ton père et moi, mais toi, je sais que tu veilleras sur Elaena. Peux-tu faire cela, pour moi ? »

Il ne tint pas à rebondir sur la prédominance de son frère sur sa propre position, trop focalisé sur l'attention qu'il portait sur sa très jeune sœur mais, lorsque les cloches du devoir sonnèrent à ses oreilles, il leva les yeux et croisa le regard de sa génitrice avec une résolution évidente. Hochant la tête, il scella cet accord d'un :

« C'est promis, mère.  »

Jamais il ne parla de cet événement à quiconque mais, lorsqu'il posa ses yeux de nouveau sur Elaena, une partie de lui sut immédiatement que son destin serait à jamais scellé au sien. Il n'y avait rien de rationnel là-dedans, aucune explication tangible à avoir sur ce sentiment qui s'emparait de lien mais, avec du recul, encore aujourd'hui, il se souvient encore de cette chaleur émergeant depuis les profondeurs de son cœur à la vue de ce sourire innocent. Plus rien ne fut jamais comme avant depuis ce jour-là.

Palais de l'Archonte, Oros ◊ An 1050

Il n'était plus un enfant à présent et, comme le voulait la tradition, Maekar fut assez rapidement pris en charge par les instructeurs de la famille, afin de faire de lui un homme en le formant aux arts de la guerre. Comme dans toutes les disciplines le jeune garçon était concentré et assidu, faisant preuve d'une évolution remarquable pour quelqu'un de son âge et pourtant, aveuglé par son sens du devoir et ses futures responsabilités, Maekar ne pouvait pas voir ses propres progrès. Il n'était jamais satisfait de ses performances, trouvant toujours quelque chose à redire quand on essayait de le féliciter, cherchant toujours à être meilleur et ce jour-là, sur le terrain d'entraînement prévu à cet effet, son impatience prit le dessus sur son sang-froid habituel. Il fut projeté en arrière avant d'essayer de se relever, les poings serrés, crachant la terre que son instructeur venait de lui faire manger.
Ses parents avaient toujours cru que seul son frère possédait le feu du dragon en lui en raison de son caractère brûlant et impétueux, mais il avait fallut attendre que Maekar grandisse et s'affirme davantage pour que le brasier se mette enfin à brûler en lui. Ce n'était pas l'ambition ou l'arrogance qui guidaient chacun de ses mouvements mais le sens de l'honneur ainsi que la piété filiale, le désir de se montrer à la hauteur et de faire honneur à son héritage familial, mais surtout pour tenir la promesse faite à sa mère en se donnant les moyens de protéger sa sœur. Cependant il n'avait pas l'impression d'en faire assez, sans doute parce qu'il se comparait à son aîné bien plus énergique que lui et cela, l'instructeur n'eut aucun mal à le percevoir sur le visage de son élève, malgré le masque de maintien et de froide concentration qu'il avait décidé de revêtir.

« Tu n'es pas frère, Seigneur Maekar. La fougue ne te sied guère. »

Pour qui le prenait-il ? Un cadet tout juste sorti des jambes de sa mère ? Pensait-il son élève incapable de reconnaître ce qui lui faisait défaut ? Ses professeurs avaient beau lui répéter que sa tempérance était son meilleur atout dans ce monde, car les pires décisions étaient prises sur le coup de l'émotion, il n'arrivait pas à être aussi positif et optimisme qu'eux. Sans doute parce qu'ils n'étaient pas à sa place, parce qu'ils ne savaient pas ce que cela faisait de ne pas avoir le choix de son avenir, de n'être qu'un spectateur et pas un acteur, mais sa réserve habituelle l'empêchait de vocaliser de telles pensées.
Au lieu de cela, s'essuyant la bouche, il ramassa l'épée longue à ses pieds avant de répondre froidement :

« Peut-être devrais-je être davantage comme lui.  »

Jalousait-il Aenar ? La partie la plus jeune et irrationnelle de son esprit, oui, car l'avenir tout entier de cette famille était tourné vers ce premier-né tandis que le puîné ne faisait que grandir dans son ombre, mais il enviait surtout l'énergie flamboyante qui rayonnait de son frère. Oh oui il était têtu, arrogant et bien trop sûr de lui, mais n'était-ce pas ce à quoi un dragon devait aspirer ? Cette pensée fut rapidement balayée par l'air réprobateur de l'instructeur.

« Ne va pas contre ta nature, Seigneur. Tu es calme et réfléchi, plus que le Seigneur Aenar ne le sera jamais et c'est là ton atout le plus précieux au combat. Une bataille se gagne avec du sang-froid et un esprit affûté, tu as les deux. »

Maekar ignora ces conseils et plongea tête baissée face à son instructeur, échangeant une passe, deux passes, trois passes d'armes avant que le sol ne se dérobe de nouveau sur ses pieds et qu'il ne sente le froid contact d'une lame contre son cou. Sa première réaction fut de serrer les dents et ravaler la frustration qui grandissait déjà en lui mais, lorsqu'il leva les yeux et vit son instructeur lui tendre la main, il réalisa à quel point il était idiot. Deux Tergaryons ne seraient jamais les mêmes, Aenar était fougueux et énergique car la famille avait besoin de ce feu pour vivre, mais qu'en était-il du cadet ? Quelle était vraiment son utilité dans cette famille ? Il était stupide d'essayer d'être comme son aîné alors que leurs rôles étaient différents, leurs destinées étaient différents alors, en cet instant, Maekar décida d'abandonner l'idée d'être comme son grand-frère pour essayer d'être...eh bien...comme lui-même. Il tendit donc la main pour attraper celle de son instructeur, lui affichant un sourire fatigue tout en concluant :

« Très bien. Je vais essayer. »

Palais de l'Archonte, Oros ◊ An 1057


Au fil des ans le jeune Tergaryon fit tout son possible pour rester aussi proche de de sa famille qu'il le souhaitait, relevant les défis de son frère et passant autant de temps que possible avec sa sœur adorée mais bientôt le devoir l'appela de nouveau et, mois après mois, ses leçons firent toujours plus longues et intenses si bien qu'il n'eut presque plus de temps pour lui. Lorsqu'il n'était pas enfermé dans la bibliothèque à dévorer tous les ouvrages possibles sur l'art de la guerre et les stratégies militaires, ou bien sur le dos de Kyraxes à s'entraîner à le chevaucher le jour où sa présence au combat serait nécessaire, Maekar passait le plus clair de son temps sur le terrain d'entraînement. Il n'était plus un garçon depuis bien longtemps mais un homme à présent, sa parfaite musculature en était la preuve à présent, mais son instructeur jugeait surtout sa transformation à la lueur qui habitait son regard.
Le vieux guerrier n'yv oyait plus d'innocence ou de naïveté quand leurs lames se percutaient l'une contre l'autre dans un fracas assourdissant, le regard de Maekar avait changé et désormais ses prunelles luisaient dans calme apparent, comme la plus calme des mers, mais sous laquelle rugissait la plus féroce des bêtes.  Le futur soldat avait réussi à canaliser son feu intérieur pour en faire une arme comme pourraient le faire les meilleurs forgerons valyrien et, à présent, plus aucune provocation ou aucune attaque éventée ne semblait capable de mettre à mal sa concentration. Il s'élançait donc vers son instructeur avec calme et prudence, échangeant de vigoureuses passes d'armes pendant des secondes, puis des minutes, puis des heures, ne s'arrêtant que lorsque la fatigue venait prendre son dû et, en cette fin d'après-midi, après un énième échange, le vieil instructeur se mit à sourire en vocalisant :

« Je n'aurai bientôt plus rien à t'apprendre, Seigneur. »

Certes sur le plan technique le jeune homme était très doué pour son âge, cela l'effrayait parfois de voir les facilités qu'il avait dans l'art de donner la mort et d'infliger la souffrance, mais il ne semblait pas pleinement satisfait pour autant. Il masqua son inconfort et son désaccord derrière un petit sourire en coin, posant son épée contre le muret le plus proche, avant de venir s'y adosser.

« la flatterie ne fonctionne pas avec moi, je pensais que tu le savais.  »

La flatterie était l'arme des politiciens et des fourbes, de ceux qui voulaient s'accorder les faveur d'un individu en boostant son ego mais, dans le cadre du jeune homme, l'absence presque totale d'ego rendait ce procédé totalement inefficace. Il savait qu'il avait fait des progrès car il sentait son instructeur de plus en plus en difficulté, mais ce n'était pas pour autant qu'il se sentait satisfait.

« Je suis sérieux. Il nous reste que ton baptême du sang à passer et il arrivera forcément, tôt ou tard. Le reste...tu devra le découvrir, par vous-même. Tu sens-tu prêt pour une telle épreuve ? »

Le baptême du sang, son premier réel combat où il ferait couler le sang d'un ennemi, c'était l'épreuve la plus importante pour chaque nouveau soldat en devenir. Maekar s'y était préparé mentalement aussi bien que possible, mais ce n'était pas cela qui l'inquiétait. D'ici quelques semaines il allait être emmené loin de son foyer pour faire son service militaire pendant une année complète, la séparation de sa famille et de sa sœur allait être une épreuve en soi, mais ce n'était pas le point le plus important. Il savait qu'il n'apprendrait rien là-bas, car son éducation avait déjà fait de lui un guerrier plus capable et discipliné que n'importe quel conscrit, mais son père voyait en cette période de formation un moyen de lui faire entrevoir le futur qui serait le sien. Maekar n'avait pas eu besoin qu'on le lui dise pour qu'il comprenne que son avenir était dans les rangs des armées de sa glorieuse nation, c'était le choix le plus logique au vu de ses évidentes facilités et il l'acceptait volontiers, mais que se passerait-il si cela ne lui plaisait pas ? C'était sa seule porte de sortie, le seul domaine dans lequel il se pensait un minimum doué, mais bientôt sa réponse se fit aussi directe que possible.

« Ce que je ressens importe peu, tu le sais bien. Je dois être prêt, alors je le serai.  »

Son avis n'importait qu'assez peu et les deux hommes le savaient. Maekar avait fait fi de son individualité depuis longtemps et, si son père attendait de lui qu'il soit un soldat exemplaire, c'était exactement ce que le jeune homme allait s'employer à devenir. Il sourit donc à son mentor en sachant très peu que l'échec n'était pas une option et, quelques jours plus tard, les deux individus auraient leur toute dernière séance avant que le devoir n'appelle Maekar Tergaryon loin de son foyer. Il n'y eut pas de transformation à proprement parler car la discipline avait toujours fait partie de sa vie et l’aspect technique de sa future profession ne lui était pas inconnue, mais en vérité le cadet Tergaryon sentit son esprit s'ouvrir à la possibilité qu'il pourrait se plaire dans ce corps d'armée.
Il y avait une pure simplicité dans le fait de chercher à défendre son foyer sans aucune autre préoccupation, pas de but politique, pas de langue de bois, pas de ronds de jambes à faire : simplement brandir son épée et se battre était tout ce qu'on attendait de lui. Un an plus tard il rentra chez eux, troublé à l'idée de retrouver sa sœur qui devenait une femme chaque jour un peu plus, mais néanmoins rassuré d'avoir enfin trouvé sa voie sans pouvoir avouer à quiconque qu'il avait déjà demandé à rentrer dans les rangs de la première armée de Valyria.

Il retrouva donc sa sœur qu'il accueillit avec l'humour qui le caractérisait tellement, plus heureux que jamais de la retrouver, mais désormais plus conscient que jamais qu'il ne pouvait peut-être pas lui apporter ce dont une femme de son rang et de sa stature recherchait réellement. Il était en passe de devenir un soldat à part entière, un homme d'armes et doutait donc de sa capacité à devenir un compagnon convenable pour qui que ce soit, surtout pour sa chère sœur. Il essaya donc de prendre de la distance pour le propre bien d'Elaena, rappelant que tous les choix n'étaient pas siens mais, avec sa maladresse habituelle, il ne parvint qu'à repousser davantage sa cadette jusqu'à ce qu'ils se retrouvent, seul à seul, lors du bal d'anniversaire de Daenyra.
Une partie de lui aurait voulu repartir auprès de ses frères d'armes en laissant sa sœur blessée et vexée, pour qu'elle puisse avoir du ressentiment à son égard et puisse tourner la page plus facilement mais, lorsqu'il posa ses yeux sur elle près du bassin, toute sa résolution et sa discipline s'envolèrent comme autant de feuilles emportées par la tempête. Il ne voulait que son bien et la savoir en sécurité, c'était tout ce qu'il avait toujours voulu pour elle mais, malgré tout, il ne pouvait supporter l'idée qu'il puisse repartir d'ici en étant brouillée avec la seule femme qui comptait pour lui.

Ce soir là, au bord du bassin, il fit donc ce pour quoi il était si peu doué : s'ouvrir. Ce n'était pas plaisant et facile pour lui mais, si cela lui permettait de ne pas voir sa sœur aimée s'éloigner de lui alors il ferait cet effort, bien volontiers. Il se laissa donc aller à la douceur enivrante de sa présence et, lorsque leurs corps se rapprochèrent l'un de l'autre, son corps prit le dessus sur son esprit et leurs lèvres se rejoignirent enfin. Il pouvait essayer de se convaincre qu'elle pouvait trouver mieux autant de fois qu'il le voudrait, au bout du compte la femme qu'il tenait dans ces bras ce soir-là était la seule qu'il aimait en ce bas monde, la seule qui comptait réellement à ses yeux et rien ne pourrait jamais changer cela. Il le savait mieux que personne.
Quand ils seraient en âge ils s'uniraient officiellement l'un à l'autre, ils n'auraient plus à se cacher de quiconque,  ils n'avaient même pas besoin d'en parler pour que cela leur saute aux yeux mais, avant cela, la guerre allait devoir les séparer une toute dernière et terrible fois.

Non loin de Bhorash ◊ Mois 6, An 1063

Cela faisait trois longues années que le jeune homme et des milliers d'autres avaient été emmenés bien loin de leur foyer, pour défendre la nation contre l'Empire de Ghis. Trois longues années que les visages de sa famille avaient été remplacés par ceux des soldats et officiers au côté desquels Maekar se battait, trois longues années pendant lesquelles le temps sembla tourner au ralenti pour lui et ses hommes. Le Tergaryon n'oublia jamais sa toute première victime, un lancier assez gauche et empressé qu'il bloqua d'une parade avant de repousser son arme et de lui trancher la gorge en un revers adroit, mais désormais toutes ses victimes semblaient se mêler les unes aux autres en une bouillie infâme. La guerre elle-même était une bouillie infâme, toute innocence était morte chez lui dés sa première bataille, dés que le premier de ses camarades fut jeté à terre par une flèche dans l’œil, mais Maekar ne se laissa pas pour autant aller au désespoir comme les plus faibles de ses hommes. Il se souvint des enseignements de son mentor, du feu qui brûlait en lui et il entra dans chaque nouvelle bataille avec la même ferveur, avec une témérité intacte malgré les défaites qui se succédèrent au fil des mois. Il n'avait pas le droit de faiblir, pas le droit de craquer, il ne pouvait se le permettre et, au fil des mois, il enfonça la douleur et la tristesse au plus profond de son âme afin de continuer d'avancer, afin de pouvoir continuer à mettre un pied devant l'autre mais, en une nuit du sixième mois de la seconde année de guerre, la coupe fut pleine.

Depuis combien de temps était-il ainsi agenouillé devant sa tente, avec le silence pour seul compagnon ? Depuis combien de temps serrait-il ce bout de parchemin dans sa main, jusqu'à en faire pâlir ses jointures ? Plus important encore, depuis combien de temps était-il ainsi prostré, courbé, la tête baissée, ne pouvant soutenir la vision de la dépouille de son cher frère qu'on venait de lui apporter ? Cela ne pouvait être vrai, voilà ce dont Maekar tenta de se convaincre en lisant la nouvelle inscrite sur ce parchemin mais, maintenant que la dépouille était devant lui, il ne pouvait plus nier l'évidence.
Son frère était mort. L'impulsivité d'Aenar avait eu raison de lui et pourtant, lorsque le Tergaryon eut enfin le courage de posa sa main sur le visage glacé de son frère, une seule question parvint à filtrer à travers sa mâchoire fermée.

« Pourquoi lui...et pas moi ?   »

Il était le meilleur des deux et s'en était allé le premier, en quoi était-ce juste ? Maekar aurait tout donné pour que sa mort puisse ramener son frère, car avec lui l'avenir de sa famille s'en était allé, mais plus rien ne pouvait changer cela. Il restait donc là à serrer les dents pour ne pas craquer, jusqu'à ce que plusieurs officiers ayant appris la tragique nouvelle ne viennent présenter leurs condoléances. Il restèrent tous à bonne distance, présentant leurs hommages, vantant les mérites de la bravoure de feu Aenar, mais à aucun moment le frère endeuillé ne répondit. Enfin, après plusieurs minutes de courbettes dont il n'avait que faire, il s'autorisa à souffler :

« Dehors. »

D'ordinaire il pouvait tolérer des discussions assommantes car tel était son devoir, mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui sa patience avait été réduite en poussière et, lorsqu'il remarqua que personne ne l'avait écouté, que tous continuaient de piailler et de vanter les faits d'armes d'un frère qu'il ne reverrait jamais plus, pour la première fois de sa vie Maekar laissa explosa sa colère. Il se redressa vigoureusement et dégaina la lame à sa ceinture, avant de hurler :

« Dehors !  »

Tous savaient qui il était, celui qui serait connu plus tard comme Qilōnagon hen borash, le fléau de Bhorash, celui qui fendrait les cieux pour passer par le feu la cité éponyme, mais même si sa renommée restée encore à faire, aucun des officiers ne tint à contester les paroles d'un frère en deuil. Non, en vérité tous se rendirent compte qu'il était plus proche de son frère qu'il ne le soupçonnait, en voyant la lueur de rage sourde qui brûlait à présent dans ses yeux, comme s'il avait toutes les difficultés du monde à se retenir de trancher la première gorge venue pour épancher son chagrin. Il avait en lui le feu du dragon et, pour la première fois de sa vie, il envisagea de lâcher prise pour ne plus souffrir, le temps de quelques secondes, mais n'en fit finalement rien.
Les officiers s'en allèrent d'un pas pressé sans demander leur reste, laissant Maekar tomber à genou, par terre, en se laissant aller à la tristesse et au chagrin juste pour ce soir-là.

Non loin de Bhorash ◊ Mois 2, An 1064

L'épreuve la plus difficile de Maekar n'avait pas été de surmonter la mort de son frère et la culpabilité qui allait avec, mais de faire face à sa famille lorsque ses nouvelles responsabilités lui permirent de rentrer, ne serait-ce que pour un jour. Il fut évidemment transporté de joie à l'idée de sentir de nouveau sa sœur dans ses bras, plus conscient que jamais de la fragilité de la vie depuis le décès de son aîné, mais sa joie fut de très courte durée lorsque la concernée fit part de sa volonté de prendre part au combat. N'avait-il retenu aucune leçon ? Il eut toutes les difficultés du monde à maîtriser son emporter mais, une fois encore, comme lorsqu'ils se retrouvèrent dans ce bassin, Maekar sut que pour faire entendre raison à sa sœur il devrait s'ouvrir, de nouveau.

Ce qu'il fit, non sans difficultés. Leurs retrouvailles, ce soir-là, n'en furent que plus douces et enivrantes. Au moins il n'aurait pas à trahir sa promesse, au moins elle était en sécurité, elle était dans ses bras ce soir-là et c'était tout ce qu'il comptait.

« Maekar Tergaryon dit le Téméraire, général des armées de Valyria. Tu parles d'une plaisanterie.  »

Même si cela faisait deux mois depuis le jour où il avait été nommé à ce prestigieux poste en raison de ses faits d'armes, de son sens tactique, de son leadership et de sa persévérance au combat, le second des Tergaryon n'arrivait toujours pas à s'habituer au titre de général dont il était désormais affublé. Il était honoré qu'on reconnaisse ses talents, humblement honoré, mais n'y avait-il pas quelqu'un de plus qualifié pour ce poste ? De toute évidence non mais sa réserve habituelle l'empêchait de faire preuve d'autre chose que d'humilité. Il prit une profonde inspiration alors que son compagnon ailé l'emmenait au-dessus des nuages, alors que la bataille pour la prise de Bhorash faisait rage au-dessous et pourtant, malgré la gravité de l'instant, avec Kyraxes à ses côtés le Tergaryon était étrangement calme.
Pendant des années la guerre s'était empêtrée dans une mêlasse infâme mais, maintenant qu'il était aux commandes, Maekar et ses confrère avaient enfin accepté d'utiliser à bon escient leur avantage le plus précieux : les dragons. Le nouveau général était un adepte des attaques directes visant le cœur de la cible aussi, lorsqu'il fit un dragon émerger des nuages à quelques dizaines de mètre sur sa droite, il sut que le moment était venu de passer à l'action. Les deux mains refermée sur l'une des épines dorsales de Kyraxes, le valyrien respira à nouveau et, suivant ses pensées, le large dragon se laissa tomber comme une pierre, les ailes repliées et la gueule fermée, jusqu'à ce que le champ de bataille ne se dessine à nouveau devant lui et l'homme qui le montait.

À plusieurs reprises les valyriens s'étaient cassés les dents contre les défenses de cette cité, mais le nouveau commandement avait décidé d'une approche plus directe, plus osée qui mordrait l'empire ghiscari directement à la gorge. Les pauvres défenseurs de cette cité levèrent les yeux lorsque plusieurs formes ailées massives percèrent la couche nuageuse au-dessus, se laissant tomber à vive allure jusqu'au dessus de la cité et, comme tous les chevaucheurs de dragon présents ce jour-là, Maekar appliqua l'ordre qu'il avait lui-même établi. Serrant les dents de rage en pensant à tous ces soldats venus s'écraser contre ces défenses, en pensant à toutes ces familles en deuil, il se pencha en avant et déversa sa juste fureur sous la forme d'un seul mot.

« Dracarys !  »

Ce jour ferait connaître Maekar Tergaryon comme Qilōnagon hen borash, le fléau de Bhorash, celui qui ordonna à tous les chevaucheurs de dragon de passer la ville par le feu, réduisant toute défense en cendre et marquant ainsi la victoire la plus significative de la nation valyrienne depuis le début de la guerre. Ce jour-là, alors que son dragon volait autour de la ville en flamme, le Tergaryon ne ressentit que de la fierté  face à ce spectacle apocalyptique qui se déroulait sous ses yeux. Ce jour marquerait un certain renouveau et, s'il avait eu des doutes concernant le fait de mériter ou non son titre ce général, cette bataille en effaça toute trace à tout jamais.

Il était fait pour mener des hommes, faits pour se battre. Il en était à présent certain.

Meereen ◊ Mois 12, An 1065

« Les Dieux ont un curieux sens de l'humour. »

Telle fut la seule phrase qui résonnait dans la tente silencieuse du jeune général désormais couvert de gloire, quelques mois seulement après que le siège de Meereen n'ait eu raison des défenses de cette imposante cité. Vêtu d'une simple tunique aux tons sombres, assis sur une chaise au confort plus que modeste, Maekar relut pour la cinquième fois la missive qu'on venait de lui transmettre sans pour autant en croire le contenu. La nation était assez reconnaissante de ses services pour lui offrir un poste au Sénat, mais ce n'était pas davantage cette novelle que la réflexion en découlant qui perturbait le très jeune général. Il ne pouvait et ne voulait pas suivre les pas de son frère et devenir un mercantiliste comme son père, ce n'était pas pour cela qu'il s'était battu, pas pour cela qu'il avait sacrifié autant de sa vie alors cela n'impliquait qu'une seule chose : tracer son propre chemin en refusant le trône laissé vacant par le décès d'Aenar..
Cela voulait aussi dire que c'était à sa sœur de prendre sa place mais, avec toutes ses nouvelles responsabilités, pourraient-ils encore officialiser leur union si Maekar tournait le dos à son père ? Il était tiraillé entre faire ce qu'il pensait être juste et suivre son cœur, pourquoi ne pouvait-il pas faire coïncider les deux ? Il passa des jours et des jours à peser le pour et le contre, à sentir les deux réponses s'entre-déchirer à l’intérieur de son esprit et enfin, lorsqu'il n'en put plus, il prit la décision la plus difficile de toute sa jeune vie.
Il ferait tout ce qu'il faudrait pour être réunis avec sa sœur, cela allait sans doute, mais la décision finale ne lui revenait malheureusement pas. Une fois cette guerre terminée il devrait avoir une discussion sérieuse avec son père, cela allait sans dire,  mais il devrait attendre deux mois de plus avant qu'une telle paix ne soit enfin mise en place.

« Il est temps de rentrer à la maison, Ky'. »

En l'espace de 4 années sa vie avait plus changé que durant tout le reste de son existence. Il avait perdu son frère, avait été nommé général, s'était couvert de gloire, avait gagné un  poste de sénateur en faisant couler une quantité incroyable de sang, le tout pour finir par risquer de perdre sa sœur au bout du compte. Le pire dans tout cela était qu'il aurait sacrifié sans hésiter ses titres et cette gloire, si cela avait pu lui assurer d'être enfin réunis avec Elaena.

C'était la seule chose qui lui importait encore.


Aerys Maerion
Aerys Maerion
Seigneur-Dragon

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Dracarys, il a dit dracarys, courrez pour vos vies Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  2656854689 Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  1260238716

Plus officiellement, je te souhaite la bienvenue parmi nous sur ROV avec ce personnage aussi prometeur qu'attendu Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  793189343

Il me semble que tu es entre d'excellentes mains pour la rédaction de cette fiche et nous sommes très heureux de t'avoir ici. Très bonne rédaction de fiche à toi et à très vite, j'espère ! Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  3686388144

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Si tu savais comme je suis heureuse qu'on se retrouve ! Et que ma subtile tentative de corruption ait aussi bien marché, qui plus est pour te voir incarner ce magnifique personnage. J'ai vraiment hâte de le voir évoluer sous ta plume ...

Et de jouer entre soldats Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  3478876275 Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  3478876275

Bon courage pour la fin de cette fiche qui promet le meilleur !
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Tu sais très bien que je ne peux pas te dire non !

En tout cas merci à vous deux, j'ai vraiment hâte de commencer ! La fiche devrait être bouclée ce soir, si tout va bien.
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Bienvenue officiellement parmi nous Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  704899288 Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  692830035 Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  2102187115 Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  806077519 Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  656223358

Je confirme que tu es dans les meilleures mains du monde, mais naturellement, nous sommes à ton entière disposition si tu as des questions Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  1491939867
Elaena Tergaryon
Elaena Tergaryon
Sénatrice

Simonagon hen Valyria


Bienvenue Maekar Tergaryon !


Validation, douce validation




C'est bon, c'est fait. Vous voici validé(e). Bravo ! Ce petit picotement que vous ressentez est celui du début d'une aventure où vous rencontrerez des personnages et des créatures incroyables. Vous sentez vous prêt(e) à nous rejoindre ? On espère que oui car le grand moment est arrivé Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  3686388144

Votre personnage, Maekar Tergaryon, va désormais rejoindre le groupe Armée pour devenir l'un de ses membres les plus illustres, espérons-le !

D'ici là, n'oubliez pas d'aller créer :

- Votre fiche de liens et de RP ici : https://rise-of-valyria.forumactif.com/f44-fiches-de-liens
- Votre chronologie ici : https://rise-of-valyria.forumactif.com/f45-chronologies

Ensuite, n'oubliez pas de recenser :
- Votre chronologie ici : https://rise-of-valyria.forumactif.com/t86-recenser-la-chronologie-de-votre-personnage
- Votre généalogie ici : https://rise-of-valyria.forumactif.com/t87-recenser-la-famille-de-votre-personnage

Et on attend de se croiser en RP au plus vite, encore bravo et à très vite sur Rise of Valyria  Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  1491939867

Le mot du staff :

Quel plaisir de voir Maekar incarné à la perfection ! Nous sommes unanimes pour saluer ta plume et ta parfaite interprétation de ce personnage (qui est un de mes chouchous...)
Attention seulement aux petites fautes d'orthographe mais surtout bon jeu !!!  Maekar Tergaryon - Family, duty, fire  692830035


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