Comment aurait-elle pu croire qu’elle reverrait un jour ces traits qu’elle avait connu par des peintures et des portraits. Ces traits si adorables, si caractéristiques de sa famille, à elle. Helenys n’aurait pu parier sur les Sept que ce jour arriverait et surtout que cela se produirait à Valyria et non en Andalos. Et pourtant, elle en était certaine et c’était appliqué à faire des recherches pour obtenir les informations qu’elle désairait. Tout avait commencé il y a quelques jours à peine alors qu’elle participait à la grande loterie des familles dynastes. Helenys s’y était rendue après avoir acheté plusieurs osselets pour que son argent puisse servir la bonne cause de ces dames qu’elle respectait pour leurs actions et leur sang qu’elle savait aussi important que le sang royal qui coulait dans ses propres veines. Si Helenys était une princesse et si elle était considérée comme inapte en Valyria, elle avait vite compris que les familles dynastes n’étaient pas de simple famille noble de la belle République qui l’accueillait depuis un peu plus d’un an maintenant. En un sens, les trois familles dynastes pouvaient être considérées comme des familles royales sans réellement le dire. C’était alors naturellement que la princesse d’Andalos avait donné de son temps et de son argent pour soutenir cet orphelinat. Toujours bienfaitrice, la cousine du roi d’Andalos n’en demeurait pas moins une ambassadrice et une femme liée à la politique de son royaume d’origine. Ce montrer ainsi lors de moments importants de la vie de la république était aussi un choix politique pour Helenys Grafton. Elle en avait profité pour tout à la fois observer les familles qui pourraient l’intéresser pour conclure ce mariage qu’elle avait toujours en tête et nouer de nouvelle alliance prometteuse. Helenys le savait, depuis son action à Ghis, même si à part les commanditaire, personne n’avait été mis dans la confidence, elle occupait une place de choix parmi tous les ambassadeurs présents en Valyria. Observatrice, la dame avait détaillé chaque visage qu’elle croisait et ce fut au détour d’un regard, alors qu’elle était naturellement accompagnée de Jacaerys que son regard fut attiré par des traits familiers.
Ne laissant rien paraître jusqu’à la fin de la grande loterie, elle profita de son nouveau rang en Valyria pour obtenir certaines informations. Des informations qu’on lui apporta quelques jours plus tard. Jaekar Veltheon de son nom, fils illégitime d’un puissant marchand de Valyria Valerion Qoherys. Helenys chercha évidemment à en savoir plus sur ce marchand et ce fut au détour d’une conversation qu’elle apprit que la Lumière de Sagesse avait séjourné longuement en Andalos il y a de cela plusieurs années et qu’il avait quitté le royaume précipitamment, emportant son fils avec lui. Un fils dont les traits du visage étaient similaires à ceux de la belle Elyna. Et cette histoire d’enfant correspondait aussi étrangement à une période trouble de la famille Royce. Les Royce, Helenys les connaissait bien et pour cause. C’était la famille qui avait donné naissance à se propre mère ; Une famille de noble marchand dont la fortune et le sang avait été assez important pour que les Arryn les laissent entrer dans leur famille en prononçant le mariage d’Alerah et du frère du future roi d’Andalos Dramon Arryn, père d’Helenys. Lady Grafton avait connu cette tante d’une beauté remarquable et avait appris sa mort avec tristesse. Il se disait qu’une mauvaise fièvre avait emporté la dame, mais il n’avait jamais été question d’un quelconque enfant dans cette histoire. Désormais adulte et mère, l’Ambassadrice se refaisait l’histoire de cette famille et commençait à retisser le fils discret qui liait le Veltheon à son illustre tante.
Désireuse de tirer les choses aux claires et voulant s’assurer de la véracité de ses hypothèses, la dame provoqua sa rencontre avec Jaekar Veltheon. Renseignée sur les habitude de l’homme, l’ambassadrice n’hésita pas longtemps à aller se mêler aux marchands de la Grande Place dans la Quadran nord de la ville. Loin du luxe du quartier des ambassadeurs, Helenys Grafton tentait de masquer les traits de sa noblesse. Attentive à ce qui l’entourait, jouant doucement entre ses doigts avec un petit pendentif aux armes de la famille de sa mère, elle attentait que l’homme se montre pour enfin l’aborder. L’Ambassadrice portait une tenue typiquement valyrienne aux tissus léger lui permettant de mieux supporter la chaleur de Valyria accrue par la foule qui grouillait autour d’elle. Sa chevelure brune et ses yeux clairs et non améthyste témoignaient de son sang étranger. Le soleil montait à son zénith lorsque sa patience fut enfin récompenser. « Jaekar Veltheon ? » fit la Dame en s’approchant de celui, qui, si ce qu’elle pensait s’avérait juste, n’était nul autre que son cousin.
Ne laissant rien paraître jusqu’à la fin de la grande loterie, elle profita de son nouveau rang en Valyria pour obtenir certaines informations. Des informations qu’on lui apporta quelques jours plus tard. Jaekar Veltheon de son nom, fils illégitime d’un puissant marchand de Valyria Valerion Qoherys. Helenys chercha évidemment à en savoir plus sur ce marchand et ce fut au détour d’une conversation qu’elle apprit que la Lumière de Sagesse avait séjourné longuement en Andalos il y a de cela plusieurs années et qu’il avait quitté le royaume précipitamment, emportant son fils avec lui. Un fils dont les traits du visage étaient similaires à ceux de la belle Elyna. Et cette histoire d’enfant correspondait aussi étrangement à une période trouble de la famille Royce. Les Royce, Helenys les connaissait bien et pour cause. C’était la famille qui avait donné naissance à se propre mère ; Une famille de noble marchand dont la fortune et le sang avait été assez important pour que les Arryn les laissent entrer dans leur famille en prononçant le mariage d’Alerah et du frère du future roi d’Andalos Dramon Arryn, père d’Helenys. Lady Grafton avait connu cette tante d’une beauté remarquable et avait appris sa mort avec tristesse. Il se disait qu’une mauvaise fièvre avait emporté la dame, mais il n’avait jamais été question d’un quelconque enfant dans cette histoire. Désormais adulte et mère, l’Ambassadrice se refaisait l’histoire de cette famille et commençait à retisser le fils discret qui liait le Veltheon à son illustre tante.
Désireuse de tirer les choses aux claires et voulant s’assurer de la véracité de ses hypothèses, la dame provoqua sa rencontre avec Jaekar Veltheon. Renseignée sur les habitude de l’homme, l’ambassadrice n’hésita pas longtemps à aller se mêler aux marchands de la Grande Place dans la Quadran nord de la ville. Loin du luxe du quartier des ambassadeurs, Helenys Grafton tentait de masquer les traits de sa noblesse. Attentive à ce qui l’entourait, jouant doucement entre ses doigts avec un petit pendentif aux armes de la famille de sa mère, elle attentait que l’homme se montre pour enfin l’aborder. L’Ambassadrice portait une tenue typiquement valyrienne aux tissus léger lui permettant de mieux supporter la chaleur de Valyria accrue par la foule qui grouillait autour d’elle. Sa chevelure brune et ses yeux clairs et non améthyste témoignaient de son sang étranger. Le soleil montait à son zénith lorsque sa patience fut enfin récompenser. « Jaekar Veltheon ? » fit la Dame en s’approchant de celui, qui, si ce qu’elle pensait s’avérait juste, n’était nul autre que son cousin.