Ici, vous parlez du passé de votre famille, de ses exploits passés ou présents, de ses déboires comme de ses richesses. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Pellentesque semper justo et eros hendrerit accumsan. Aliquam arcu tortor, faucibus congue sodales ut, egestas ac leo. Suspendisse rutrum quis nisl id commodo. Mauris et vestibulum velit. Nulla elementum sed enim id egestas. Fusce ultricies vitae lectus a viverra. Donec in lectus sed nunc sagittis mattis ut et urna. Curabitur et lorem et tellus pretium ullamcorper et ut libero. Interdum et malesuada fames ac ante ipsum primis in faucibus.
Que pensez-vous de l’esclavage à Valyria ?
Ce sang étranger qui pénètre les demeures les plus pures de Valyria, sous ses dehors de servilité, n’est qu’un poison propice à la trahison. Personne n’est réellement fiable en ce monde – et avoir un esprit porté sur la duperie n’en est que la meilleure preuve – mais la fidélité d’un serviteur peut se concevoir de façon plus maligne que par les chaines.
Cela dit, ces esclaves, puisqu’ils n’ont pas une seule goutte valyrienne en eux, ne méritent guère plus que la considération qu’on porte aux animaux. Ils ont leur utilité et, au sein de Vaelgamon, cette utilité porte avant tout aux expériences de sa mère.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ?
Aerion n’a jamais affiché comme ambition que l’excellence, la pureté et la puissance de sa famille. L’éternel second a fait des ombres son milieu naturel et évolue dans les eaux troubles et féroces de ses propres aspirations. S’il n’a jamais fait ou dit de quoi faire douter de sa loyauté envers sa mère, il prend soin néanmoins d’avancer ses propres pions sous la surface ondine. On le dit Fourbe et il ne l’est qu’avec ses ennemis, mais sait-on seulement qui ils sont ? Serpent qui susurre avec le sourire, l’œil qui fixe et observe et apprend, la main qui n’a pas peur de se salir, rougie du sang des sales besognes, il n’a jamais été le fils préféré mais il est celui dont on ne peut douter parce qu’il a très tôt appris qu’on ne disait jamais non à Mère. Ses opinions évoluent dans le secret de ses pensées, passant pour moins intelligent qu’il ne l’est vraiment pour renforcer l’orgueil tout-puissant de Maman.
A présent que neveu Edarion s’est établi à la Cité qu’il découvre, entre les griffes du Conseil, lui l’oncle qui s’est toujours voulu proche et complice du garçon, compte bien devenir la seule figure de confiance que la jeune Lumière puisse percevoir à la capitale. Intermédiaire au contact d’Edarion, la Sorcière peut être assurée que le prodige clairvoyant applique toutes les consignes provenant de Vaelgamon. Mais avec la distance effective et la terreur qu’elle a toujours inspiré, Aerion peut jouer sur un autre tableau tel un équilibriste au-dessus du vide.
Un jour, il le sait, ses descendants à lui régneront sur la forteresse familiale et qui sait, ramèneront Valyria vers le chemin de la grandeur et la pureté qu’Arrax avait tracé.
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ?
Diviser pour mieux régner. Les sénateurs aiment se déchirer pour des vétilles prétentieuses.
Aerion n’est pas un politicien, là était officiellement le rôle de son père et son frère ainé ; lui se sent plus à l’aise dans une logistique très pragmatique ou dans l’étude et les livres.
Ce sang étranger qui pénètre les demeures les plus pures de Valyria, sous ses dehors de servilité, n’est qu’un poison propice à la trahison. Personne n’est réellement fiable en ce monde – et avoir un esprit porté sur la duperie n’en est que la meilleure preuve – mais la fidélité d’un serviteur peut se concevoir de façon plus maligne que par les chaines.
Cela dit, ces esclaves, puisqu’ils n’ont pas une seule goutte valyrienne en eux, ne méritent guère plus que la considération qu’on porte aux animaux. Ils ont leur utilité et, au sein de Vaelgamon, cette utilité porte avant tout aux expériences de sa mère.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ?
Aerion n’a jamais affiché comme ambition que l’excellence, la pureté et la puissance de sa famille. L’éternel second a fait des ombres son milieu naturel et évolue dans les eaux troubles et féroces de ses propres aspirations. S’il n’a jamais fait ou dit de quoi faire douter de sa loyauté envers sa mère, il prend soin néanmoins d’avancer ses propres pions sous la surface ondine. On le dit Fourbe et il ne l’est qu’avec ses ennemis, mais sait-on seulement qui ils sont ? Serpent qui susurre avec le sourire, l’œil qui fixe et observe et apprend, la main qui n’a pas peur de se salir, rougie du sang des sales besognes, il n’a jamais été le fils préféré mais il est celui dont on ne peut douter parce qu’il a très tôt appris qu’on ne disait jamais non à Mère. Ses opinions évoluent dans le secret de ses pensées, passant pour moins intelligent qu’il ne l’est vraiment pour renforcer l’orgueil tout-puissant de Maman.
A présent que neveu Edarion s’est établi à la Cité qu’il découvre, entre les griffes du Conseil, lui l’oncle qui s’est toujours voulu proche et complice du garçon, compte bien devenir la seule figure de confiance que la jeune Lumière puisse percevoir à la capitale. Intermédiaire au contact d’Edarion, la Sorcière peut être assurée que le prodige clairvoyant applique toutes les consignes provenant de Vaelgamon. Mais avec la distance effective et la terreur qu’elle a toujours inspiré, Aerion peut jouer sur un autre tableau tel un équilibriste au-dessus du vide.
Un jour, il le sait, ses descendants à lui régneront sur la forteresse familiale et qui sait, ramèneront Valyria vers le chemin de la grandeur et la pureté qu’Arrax avait tracé.
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ?
Diviser pour mieux régner. Les sénateurs aiment se déchirer pour des vétilles prétentieuses.
Aerion n’est pas un politicien, là était officiellement le rôle de son père et son frère ainé ; lui se sent plus à l’aise dans une logistique très pragmatique ou dans l’étude et les livres.