La vie avait repris après le triomphe et les différentes fêtes données en l’honneur des glorieux soldats de Valyria. Désormais, les plus importants sujets de discussion étaient la loi votée par le sénat et surtout les nouvelles élections des Lumières qui allaient avoir lieu prochainement. La jeune Daenerys Maerion, dernière fille de la maison Maerion, ajustait sa toilette pour la fête que donnait ses parents le soir-même. Comme la dernière fois que son père s’apprêtait à naviguer dans la politique Valyrienne pour accéder au prestige d’être Lumière, il avait invité quelques maisons amies et parmi elle, les Tergaryon. La Maerion connaissait surtout la fille aînée des Tergaryon d’Oros, Elaena, une amie de Naerys Voix d’Argent. Elle sait son frère Aerys proche de l’aîné et militaire Maekar. Restait dans la famille à connaître d’avanagage la cadette, Daenyra Tergaryon que l’on disait discrète. Daenerys ne savait si elle la verrait ce jour-là et présentement elle avait surtout en tête de faire bonne impression comme à chaque fois qu’elle se devait d’être la fille parfaite des Maerion.
Le visage de la jeune femme s’assombrit et ses lèvres se pincèrent lorsque son frère et futur époux, Jaehaegaron franchit le pas de sa chambre sans s’être réellement annoncé. Son aîné, tout aussi apprêté qu’elle, lui tendit son bras pour qu’elle y déposer sa main. Daenerys Maerion hésita un instant. Elle ne se faisait toujours pas à l’idée qu’elle devrait bientôt l’épouse. Mais son devoir était son devoir et la discussion qu’elle avait eu avec Aerys avant la guerre lui revint à l’esprit. Son frère avait été assez clair lorsqu’ils avaient discuté tous les deux. Le devoir devait primer, qu’à cela ne tienne. Comblant alors l’espace qui la séparait de son frère et fiancé, elle déposa avec calme et délicatesse sa main sur l’avant-bras de ce dernier. Et les deux Maerion quittèrent la pièce marchant au même rythme comme deux dragons volant l’un à côté de l’autre. Mais si Daenerys avait accepté, un peu à contre cœur de se tenir à côté de son frère le temps d’accueillir les invités et les premiers instants de politesses, elle s’éloigna bien vite de l’hériter des Maerion qui lui lança un regard réprobateur auquel la cadette répondit par une moue dès plus provocatrice, le défiant d’un simple regard d’oser dire tout haut ce qu’il pensait d’elle. La sœur connaissait suffisamment son frère pour savoir qu’il ne ferait rien qui amènerait le scandale en sa maison et sous el regard paternel.
Daenerys Maerion, Dame-Dragon des Maerion, fit quelques pas dans le jardin du palais familiale sur les hauteurs des montagnes qu’elle connaissait par cœur. Elle inclinait la tête ci et là pour saluer les invités de sa Lumière de père et échangea avec quelques dames. Et ce fut à ce fut au détour d’un regard qu’elle remarqua la chevelure blonde d’une jeune demoiselle qui devait avoir son âge. La cadette des Maerion navigua avec grâce jusqu’à cette dernière dont elle apprit rapidement l’identité qu’elle soupçonnait : Daneyra Tergaryon.
« Je suis Daenerys Maerion, fille de la Lumière de Sagesse Arraxios Maerion. Je suis ravie de te voir ici Dame Daenyra Tergaryon. » fit la jeune femme en s’adossant contre un arbre qui se trouvait non loin de là. Un léger sourire s’étira sur les lèvres de la plus jeune des enfants d’Arraxios et Vhaenyra Maerion. La dame-dragon était en réalité assez heureuse de trouver une jeune femme de son âge parmi les invités de ses parents et surtout, elle semblait aussi calme quoi qu’un peu plus timide qu’elle. « Je t’ai vu un pu seule, les mondanités ne te plaisent guère ? » reprit la Maerion en tournant son visage vers son interlocutrice.
Le visage de la jeune femme s’assombrit et ses lèvres se pincèrent lorsque son frère et futur époux, Jaehaegaron franchit le pas de sa chambre sans s’être réellement annoncé. Son aîné, tout aussi apprêté qu’elle, lui tendit son bras pour qu’elle y déposer sa main. Daenerys Maerion hésita un instant. Elle ne se faisait toujours pas à l’idée qu’elle devrait bientôt l’épouse. Mais son devoir était son devoir et la discussion qu’elle avait eu avec Aerys avant la guerre lui revint à l’esprit. Son frère avait été assez clair lorsqu’ils avaient discuté tous les deux. Le devoir devait primer, qu’à cela ne tienne. Comblant alors l’espace qui la séparait de son frère et fiancé, elle déposa avec calme et délicatesse sa main sur l’avant-bras de ce dernier. Et les deux Maerion quittèrent la pièce marchant au même rythme comme deux dragons volant l’un à côté de l’autre. Mais si Daenerys avait accepté, un peu à contre cœur de se tenir à côté de son frère le temps d’accueillir les invités et les premiers instants de politesses, elle s’éloigna bien vite de l’hériter des Maerion qui lui lança un regard réprobateur auquel la cadette répondit par une moue dès plus provocatrice, le défiant d’un simple regard d’oser dire tout haut ce qu’il pensait d’elle. La sœur connaissait suffisamment son frère pour savoir qu’il ne ferait rien qui amènerait le scandale en sa maison et sous el regard paternel.
Daenerys Maerion, Dame-Dragon des Maerion, fit quelques pas dans le jardin du palais familiale sur les hauteurs des montagnes qu’elle connaissait par cœur. Elle inclinait la tête ci et là pour saluer les invités de sa Lumière de père et échangea avec quelques dames. Et ce fut à ce fut au détour d’un regard qu’elle remarqua la chevelure blonde d’une jeune demoiselle qui devait avoir son âge. La cadette des Maerion navigua avec grâce jusqu’à cette dernière dont elle apprit rapidement l’identité qu’elle soupçonnait : Daneyra Tergaryon.
« Je suis Daenerys Maerion, fille de la Lumière de Sagesse Arraxios Maerion. Je suis ravie de te voir ici Dame Daenyra Tergaryon. » fit la jeune femme en s’adossant contre un arbre qui se trouvait non loin de là. Un léger sourire s’étira sur les lèvres de la plus jeune des enfants d’Arraxios et Vhaenyra Maerion. La dame-dragon était en réalité assez heureuse de trouver une jeune femme de son âge parmi les invités de ses parents et surtout, elle semblait aussi calme quoi qu’un peu plus timide qu’elle. « Je t’ai vu un pu seule, les mondanités ne te plaisent guère ? » reprit la Maerion en tournant son visage vers son interlocutrice.