« Je ne suis pas de ces gens aux noms gravés dans le marbre. Je n'ai eu comme parent que ma patrie qui m'a offerte ses habitants comme frères et comme soeurs. Vous.» Extrait d'un discours prononcé par Daera Melgaris.
La famille est quelque chose de mouvant quand on en a une, mais Daera ne peut se targuer d'en avoir une grande ou une assez mémorable pour avoir des livres à son sujet. Elle ne sait rien de la famille de sa mère, elle était trop jeune pour demander avant sa mort, mais elle n'aurait jamais su puisque d'après les informations qu'elle avait collectée, sa mère avait été orpheline avant de devenir prostituée.
Son père lui était un homme qui venait d'une famille connue dans Valyria mais pas assez importante pour qu'elle soit mémorable, c'était une famille de suiveurs mercantilistes. L'homme s'est forgé lui-même et avait réussit à atteindre le siège de sénateur après la mort de son propre père mais en travaillant dans l'optique de marquer l'histoire lui aussi. Cette famille se serait éteinte si son père ne l'avait pas retrouvée. Il est mort alors que Daera avait à peine vingt ans lui léguant de ce fait son siège au Sénat ainsi que son commerce que Daera continue de faire prospérer.
La famille est quelque chose de mouvant quand on en a une, mais Daera ne peut se targuer d'en avoir une grande ou une assez mémorable pour avoir des livres à son sujet. Elle ne sait rien de la famille de sa mère, elle était trop jeune pour demander avant sa mort, mais elle n'aurait jamais su puisque d'après les informations qu'elle avait collectée, sa mère avait été orpheline avant de devenir prostituée.
Son père lui était un homme qui venait d'une famille connue dans Valyria mais pas assez importante pour qu'elle soit mémorable, c'était une famille de suiveurs mercantilistes. L'homme s'est forgé lui-même et avait réussit à atteindre le siège de sénateur après la mort de son propre père mais en travaillant dans l'optique de marquer l'histoire lui aussi. Cette famille se serait éteinte si son père ne l'avait pas retrouvée. Il est mort alors que Daera avait à peine vingt ans lui léguant de ce fait son siège au Sénat ainsi que son commerce que Daera continue de faire prospérer.
Que pensez-vous de l’esclavage à Valyria ? Quand on est né dans les bas-fonds comme elle, on côtoie quotidiennement les esclaves qui sont loin des objets de leurs servitudes. Daera a toujours respecté les esclaves et détesté l'idée qu'un être humain puisse appartenir à un autre être humain. Elle a trop souvent vu la misère sur leurs visages, trop souvent remarquée les marques de sévices pratiquées sur leur peau. Daera a toujours dit dans ses discours être contre l'esclavage, et même si elle fait partie d'une minorité, elle espère avoir apporté une nouvelle perspective aux gens qui approuvent cette pratique, mais sont mal à l'aise, elle aimerait montrer qu'il y a une autre voie avec moins de souffrance. Cependant, Daera est lucide et sait que tant que le profit restera aussi grand à avoir des esclaves, l'esclavage continuera.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ? Daera aimerait s'élever dans la société valyrienne et devenir une des sénatrices les plus puissantes de Valyria. Elle sait qu'elle est déjà connue et qu'elle possède déjà une certaine influence notamment sur le peuple, mais elle aimerait que son cercle d'influence ait aussi des personnes illustres. Surtout, elle aimerait marquer l'histoire et ne jamais être oubliée, ne plus faire partie d'un groupe indistinct d'oubliés de l'Histoire, mais bien d'en être un personnage principal. Elle aimerait que Valyria change grâce à elle, pour le meilleur et comme elle l'entend.
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ? Les factions sont des réactions à l'un des événements les plus tragiques de l'Histoire de Valyria. Daera avait beaucoup de respect pour Lucerys Arlaeron qu'elle connaissait seulement de loin et dont elle ne partageait pas les idées, mais respectait pour son travail et sa rigueur. Daera déteste les factions qui sont trop peu nombreuses pour représenter une opinion nuancée et cela profite à des gens dont la famille existe depuis des siècles et qui profitent de cette crise pour gagner en influence. Si Daera fait partie des bleus par défaut, elle espère retourner à une vie démocratique normale où les factions sont plus nuancées. Elle est fait partie des bleus parce qu'elle n'aime pas l'idée d'une seule personne ayant les mains mises sur toutes les pouvoirs. Leur système est peut-être faillible mais il est le moins dangereux. Elle compte profiter elle aussi de cette crise même si elle se dit que c'est pour le bien commun.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ? Daera aimerait s'élever dans la société valyrienne et devenir une des sénatrices les plus puissantes de Valyria. Elle sait qu'elle est déjà connue et qu'elle possède déjà une certaine influence notamment sur le peuple, mais elle aimerait que son cercle d'influence ait aussi des personnes illustres. Surtout, elle aimerait marquer l'histoire et ne jamais être oubliée, ne plus faire partie d'un groupe indistinct d'oubliés de l'Histoire, mais bien d'en être un personnage principal. Elle aimerait que Valyria change grâce à elle, pour le meilleur et comme elle l'entend.
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ? Les factions sont des réactions à l'un des événements les plus tragiques de l'Histoire de Valyria. Daera avait beaucoup de respect pour Lucerys Arlaeron qu'elle connaissait seulement de loin et dont elle ne partageait pas les idées, mais respectait pour son travail et sa rigueur. Daera déteste les factions qui sont trop peu nombreuses pour représenter une opinion nuancée et cela profite à des gens dont la famille existe depuis des siècles et qui profitent de cette crise pour gagner en influence. Si Daera fait partie des bleus par défaut, elle espère retourner à une vie démocratique normale où les factions sont plus nuancées. Elle est fait partie des bleus parce qu'elle n'aime pas l'idée d'une seule personne ayant les mains mises sur toutes les pouvoirs. Leur système est peut-être faillible mais il est le moins dangereux. Elle compte profiter elle aussi de cette crise même si elle se dit que c'est pour le bien commun.