Rancunier : Fatalement, l’instruction de la noblesse valyrienne comporte sa part d’orgueil. Chez Maegon, elle se manifeste par la rancune. Le chef de la famille Tergaryon n’oublie jamais une insulte, ni un refus et dès lors qu’il se met à haïr, il hait longtemps, et impitoyablement.
Guerrier : Maegon aime la bataille. Pire, il l’idéalise. Là ou d’autres verront dans la guerre la boue, le sang, les charniers et la destruction, Maegon y voit une machine à fabriquer des héros et à perpétuer la grandeur d’un héritage passé de génération en génération. Il perçoit sa vocation comme celle d’un artiste de l’art de la guerre. Il vit pour perfectionner cet art, en esprit et dans son corps.
Hédoniste : Le plaisir a fait partie intégrante de l’instruction de Maegon Tergaryon, mais, chez lui, la ferveur religieuse se mêle à un naturel bien disposés aux plaisirs de la chair, qu’ils soient celui d’un -beau- corps féminin, celui d’un bon vin, ou celui d’un repas de grande qualité. Le plaisir l’attire et sera quasiment toujours de nature à le mettre dans de bonnes dispositions.
Fêtard : Les mondanités font la joie de Maegon Tergaryon. Les cérémonies, les bals, les banquets, il ne rate jamais les nuits les plus fastueuses et endiablées de la République, il ne sera jamais difficile de l’embarquer pour faire les 400 coups, pour peu que l’on puisse tenir la promesse d’une bonne soirée. Son caractère fêtard le pousse à fuir les gens qui ne savent pas s’amuser durant des festivités ou qui ont l’outrecuidance de requérir sa présence à des célébrations ennuyeuses.
Arrogant : Autre revers de la médaille d’une instruction consistant à apprendre à diriger les hommes au Sénat come sur le champ de bataille, Maegon est souvent persuadé de mieux savoir tout que tout le monde et hésite rarement à le faire savoir. Prendre quelqu’un de haut, surtout s’il entretient une inimitié.
Fier : La conscience de son rang et de ce que cela implique guide une grande partie des actions de Maegon. La hiérarchie -et ce d’autant plus facilement qu’il s’estime au sommet de celle-ci- et le respect des formes sont essentielles à ses yeux. Son éducation du sud n’arrange rien à cette tendance. Ainsi, Maegon a une vision assez tatillonne de l’ordre. Les femmes doivent obéir à leurs maris, les fils aux pères, les serviteurs aux maîtres, les soldats aux officiers, les cadets aux aînés et les mortels aux dieux. Tout manquement de cet ordre est perçu par Maegon comme une insulte à sa dignité, à son rang, et à sa famille, ce qu’il ne tolère pas. Encore moins dès lors que les manquements sont personnels, c’est-à-dire le concernant directement. Cela le rend aussi prompt à se faire des rivaux et des adversaires que son caractère fêtard à se faire des alliés. Il n’apprécie pas être mis de côté ni être considéré comme acquis lorsqu’il n’a pas participé aux décisions. Lui forcer la main, c’est s’assurer devoir le compenser grassement ou s’en faire un ennemi plus tard.
Attentionné : Pour autant, Maegon n’est pas un homme manquant de chaleur, ni de sympathie. Sa fierté se traduit aussi dans l’attention qu’il porte à ceux qui le côtoient. Il traitera ainsi avec une douceur et une prévenance remarquable ceux qui sont reçus par lui et veillera à ne jamais leur faire perdre la face à moins qu’ils ne soient des adversaires irréductibles. Il est également toujours porté à la bienveillance vis-à-vis des membres. Il a un grand soucis du détail et de la symbolique et prend toujours soin de faire le maximum pour que sa compagnie soit le plus agréable possible.
Ouvert : Le caractère hédoniste et fêtard de Maegon le porte naturellement à la tolérance et au relativisme. Il est ainsi toujours disposé à entendre des idées nouvelles. Il fait preuve de curiosité et ne rejettera jamais un fait nouveau, une innovation récente ou une façon de penser sur le principe, à moins, naturellement, qu’elle ne se heurte viscéralement à sa vision du monde et de l’honneur. Son ouverture se caractérise également par le fait qu’il est se tient toujours disponible pour discuter et débattre avant de délibérer, que ce soit pour ses clients, ses alliés ou sa famille. Trouver Maegon n’est pas une chose difficile et il trouvera toujours le temps pour s’entretenir avec qui le voudra.
Généreux : Que ce soit dans les fêtes qu’il donne, dans le soutien qu’il apporte ou dans l’aide qu’il pourvoit, Maegon ne regarde pas à la dépense ni au temps dès lors qu’il est pleinement associé à un projet. Ses florissants domaines lui donnent la gestion d’une vaste fortune qu’il utilise pour sa famille et ses obligés. Il sait très bien ne pas regarder à la dépense et considère qu’être pingre est indigne de son rang.
Athlétique : Le corps est une obsession pour Maegon. Il passe son temps à s’entraîner pour faire de son corps un corps parfait. Il méprise les gens laids ou qui ne s’entretiennent pas et les considérera toujours avec une grande méfiance, comme ne respectant pas les idéaux valyriens.
Honnête : Maegon déteste le mensonge. Il pourra se montrer évasif, jouer sur les mots, mais mentir est une frontière morale qu’il se refusera toujours, considérant qu’un noble qui ment se déshonore et déshonore son statut. Dès lors qu’il exprime une position sur un sujet, on peut être sur qu’il s’y tiendra le moment venu. Les serments et les engagements sont le fondement de toute vie entre nobles il les tient donc pour sacré.
Il suffit parfois d’un homme pour marquer l’histoire. Tergarys faisait partie de ce sang-là. Jamais satisfait que le monde soit trop inconnu encore aux hommes, il s’engagea dans l’expansion et l’exploration pour Valyria. Ce fondateur glorieux posa ainsi, pour sa lignée, les bases du patriciat que l’on accorde aujourd’hui aux Tergaryon.
La famille croissait en richesse, en honneur et en pouvoir, venant se hisser parmi les familles les plus en vue de Valyria.
L’unité de la famille ne fut jamais remise en question jusqu’à Rhaenar II Tergaryon.
Celui-ci eut plusieurs fils. Ils ne s’entendaient pas. L’aîné et le cadet particulièrement, se déchiraient dans une rivalité vaine ayant pour source l’ombrage pris par la branche aînée du pouvoir pris par la branche cadette.
La branche aînée se forgeait donc une identité dans la tradition scrupuleuse. Fidèles à l’attachement à l’armée de leur siège familial, fidèles à la tradition d’un mariage incestueux, Vaekar pensait passer cette identité particulière à son fils Maegon. Il n’y parvint pas tout d’abord.
Prolifique, la branche aînée a donné de nombreux fils et de nombreuses filles :
• Rhaenar Tergaryon II † (mort de vieillesse)
∞ sa soeur-épouse, Aelya Tergaryon
Branche principale :
• Vaekar Tergaryon † (tombé lors de la Première Guerre contre les Ghis)
∞ sa soeur-épouse, Alyssa Tergaryon
➝ leur fils Maegon Tergaryon - 28 ans - Seigneur Dragon
➝ leur fille Aelya Tergaryon
➝ leur fils Arios Tergaryon
➝ leur fille Vyseria Tergaryon
➝ leur fille Rhaelys Tergaryon
➝ leur fils Haelios Tergaryon
• Vytaeron Tergaryon - Mage
La branche aînée semble aujourd’hui terne comparée aux personnalités flamboyantes de la branche cadette. Elle reste cependant très riche et son héritage commande un grand respect.
La branche aînée dispose de deux demeures principales, le Palais Hoskagon à la capitale, et le Palais Tergaryon à Gelios d’où elle est originaire.
La famille croissait en richesse, en honneur et en pouvoir, venant se hisser parmi les familles les plus en vue de Valyria.
L’unité de la famille ne fut jamais remise en question jusqu’à Rhaenar II Tergaryon.
Celui-ci eut plusieurs fils. Ils ne s’entendaient pas. L’aîné et le cadet particulièrement, se déchiraient dans une rivalité vaine ayant pour source l’ombrage pris par la branche aînée du pouvoir pris par la branche cadette.
La branche aînée se forgeait donc une identité dans la tradition scrupuleuse. Fidèles à l’attachement à l’armée de leur siège familial, fidèles à la tradition d’un mariage incestueux, Vaekar pensait passer cette identité particulière à son fils Maegon. Il n’y parvint pas tout d’abord.
Prolifique, la branche aînée a donné de nombreux fils et de nombreuses filles :
• Rhaenar Tergaryon II † (mort de vieillesse)
∞ sa soeur-épouse, Aelya Tergaryon
Branche principale :
• Vaekar Tergaryon † (tombé lors de la Première Guerre contre les Ghis)
∞ sa soeur-épouse, Alyssa Tergaryon
➝ leur fils Maegon Tergaryon - 28 ans - Seigneur Dragon
➝ leur fille Aelya Tergaryon
➝ leur fils Arios Tergaryon
➝ leur fille Vyseria Tergaryon
➝ leur fille Rhaelys Tergaryon
➝ leur fils Haelios Tergaryon
• Vytaeron Tergaryon - Mage
La branche aînée semble aujourd’hui terne comparée aux personnalités flamboyantes de la branche cadette. Elle reste cependant très riche et son héritage commande un grand respect.
La branche aînée dispose de deux demeures principales, le Palais Hoskagon à la capitale, et le Palais Tergaryon à Gelios d’où elle est originaire.
Que pensez-vous de l’esclavage à Valyria ? Maegon n'a pas d'avis particulier sur l'esclavage. La fin justifie les moyens. Si les esclaves peuvent permettre la grandeur de Valyria, il n'y a aucune raison de s'en priver, encore moins si les ennemis de la République l'utilisent.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ? Maegon convoite le pouvoir, politique mais aussi et surtout, militaire. En bon militariste et en homme fasciné par l'armée, il brigue un haut poste dans le commandement valyrien. En revanche, c'est un Républicain peu enclin à des réformes institutionnelles, il ne se verra donc jamais en généralissime ou en dictateur. Il ne dirait pas non, en revanche, à une place au Conseil des Cinq dès lors qu'il en aura l'opportunité.
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ? Maegon navigue parfaitement dans le système des factions. Cette division est nécessaire afin de s'assurer que l'ensemble des intérêts de la société valyrienne soient pris en compte. Bien qu'il soit farouchement militariste, Maegon n'ignore pas qu'une armée, ce sont aussi des bouches à nourrir, des gens à payer et surtout, un peuple et une République à défendre. Qu'lle occupe un rôle de premier plan, surtout dans une période d'expansion, lui semble normal. Que l'armée s'accapare la République lui semble dangereux pour l'armée elle-même et son crédit.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ? Maegon convoite le pouvoir, politique mais aussi et surtout, militaire. En bon militariste et en homme fasciné par l'armée, il brigue un haut poste dans le commandement valyrien. En revanche, c'est un Républicain peu enclin à des réformes institutionnelles, il ne se verra donc jamais en généralissime ou en dictateur. Il ne dirait pas non, en revanche, à une place au Conseil des Cinq dès lors qu'il en aura l'opportunité.
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ? Maegon navigue parfaitement dans le système des factions. Cette division est nécessaire afin de s'assurer que l'ensemble des intérêts de la société valyrienne soient pris en compte. Bien qu'il soit farouchement militariste, Maegon n'ignore pas qu'une armée, ce sont aussi des bouches à nourrir, des gens à payer et surtout, un peuple et une République à défendre. Qu'lle occupe un rôle de premier plan, surtout dans une période d'expansion, lui semble normal. Que l'armée s'accapare la République lui semble dangereux pour l'armée elle-même et son crédit.