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Maegon Tergaryon
Maegon Tergaryon
Sénateur

Maegon Tergaryonft. Chris Hemsworth
Pseudo/surnom : Hal
Âge : 31
Pays/région : Expat' en Belgique
Comment as tu connu le forum ? Top site
Un parrain ou marraine ? Non!
Crédit avatar et gifs :
Quelle est ta pâtisserie préférée ? Strudel
Un dernier mot pour la route ? Chaud!
avatar
Titres :Sénateur, Seigneur Dragon, chef de la famille Tergaryon.
Âge : 29
Lieu de naissance : Palais Tergaryon, Gelios
Situation maritale : Célibataire
Statut du sang : Pur
Type de personnage : PV
Groupe : Noble. Militariste de la faction Rouge.

Caractère : Ambitieux : Maegon convoite le pouvoir et l’influence. Il a été éduqué depuis son plus jeune âge à diriger. Aîné de la branche aîné, chaque instant de sa vie devait le destiner à prendre pleinement part dans le jeu politique et militaire de la République de Valyria. Et Maegon y a pris goût. Il cherchera à accroître son pouvoir dès que cela lui est possible. Son ambition ne s’arrête cependant pas à sa seule personne, elle concerne aussi sa famille, et son pays. Maegon ne conçoit pas de voir les choses en petit, ni de s’en tenir à la médiocrité. La grandeur est son but aussi bien personnel que politique.

Rancunier : Fatalement, l’instruction de la noblesse valyrienne comporte sa part d’orgueil. Chez Maegon, elle se manifeste par la rancune. Le chef de la famille Tergaryon n’oublie jamais une insulte, ni un refus et dès lors qu’il se met à haïr, il hait longtemps, et impitoyablement.
Guerrier : Maegon aime la bataille. Pire, il l’idéalise. Là ou d’autres verront dans la guerre la boue, le sang, les charniers et la destruction, Maegon y voit une machine à fabriquer des héros et à perpétuer la grandeur d’un héritage passé de génération en génération. Il perçoit sa vocation comme celle d’un artiste de l’art de la guerre. Il vit pour perfectionner cet art, en esprit et dans son corps.

Hédoniste : Le plaisir a fait partie intégrante de l’instruction de Maegon Tergaryon, mais, chez lui, la ferveur religieuse se mêle à un naturel bien disposés aux plaisirs de la chair, qu’ils soient celui d’un -beau- corps féminin, celui d’un bon vin, ou celui d’un repas de grande qualité. Le plaisir l’attire et sera quasiment toujours de nature à le mettre dans de bonnes dispositions.
Fêtard : Les mondanités font la joie de Maegon Tergaryon. Les cérémonies, les bals, les banquets, il ne rate jamais les nuits les plus fastueuses et endiablées de la République, il ne sera jamais difficile de l’embarquer pour faire les 400 coups, pour peu que l’on puisse tenir la promesse d’une bonne soirée. Son caractère fêtard le pousse à fuir les gens qui ne savent pas s’amuser durant des festivités ou qui ont l’outrecuidance de requérir sa présence à des célébrations ennuyeuses.

Arrogant : Autre revers de la médaille d’une instruction consistant à apprendre à diriger les hommes au Sénat come sur le champ de bataille, Maegon est souvent persuadé de mieux savoir tout que tout le monde et hésite rarement à le faire savoir. Prendre quelqu’un de haut, surtout s’il entretient une inimitié.

Fier : La conscience de son rang et de ce que cela implique guide une grande partie des actions de Maegon. La hiérarchie -et ce d’autant plus facilement qu’il s’estime au sommet de celle-ci- et le respect des formes sont essentielles à ses yeux. Son éducation du sud n’arrange rien à cette tendance. Ainsi, Maegon a une vision assez tatillonne de l’ordre. Les femmes doivent obéir à leurs maris, les fils aux pères, les serviteurs aux maîtres, les soldats aux officiers, les cadets aux aînés et les mortels aux dieux. Tout manquement de cet ordre est perçu par Maegon comme une insulte à sa dignité, à son rang, et à sa famille, ce qu’il ne tolère pas. Encore moins dès lors que les manquements sont personnels, c’est-à-dire le concernant directement. Cela le rend aussi prompt à se faire des rivaux et des adversaires que son caractère fêtard à se faire des alliés. Il n’apprécie pas être mis de côté ni être considéré comme acquis lorsqu’il n’a pas participé aux décisions. Lui forcer la main, c’est s’assurer devoir le compenser grassement ou s’en faire un ennemi plus tard.

Attentionné : Pour autant, Maegon n’est pas un homme manquant de chaleur, ni de sympathie. Sa fierté se traduit aussi dans l’attention qu’il porte à ceux qui le côtoient. Il traitera ainsi avec une douceur et une prévenance remarquable ceux qui sont reçus par lui et veillera à ne jamais leur faire perdre la face à moins qu’ils ne soient des adversaires irréductibles. Il est également toujours porté à la bienveillance vis-à-vis des membres. Il a un grand soucis du détail et de la symbolique et prend toujours soin de faire le maximum pour que sa compagnie soit le plus agréable possible.

Ouvert : Le caractère hédoniste et fêtard de Maegon le porte naturellement à la tolérance et au relativisme. Il est ainsi toujours disposé à entendre des idées nouvelles. Il fait preuve de curiosité et ne rejettera jamais un fait nouveau, une innovation récente ou une façon de penser sur le principe, à moins, naturellement, qu’elle ne se heurte viscéralement à sa vision du monde et de l’honneur. Son ouverture se caractérise également par le fait qu’il est se tient toujours disponible pour discuter et débattre avant de délibérer, que ce soit pour ses clients, ses alliés ou sa famille. Trouver Maegon n’est pas une chose difficile et il trouvera toujours le temps pour s’entretenir avec qui le voudra.

Généreux : Que ce soit dans les fêtes qu’il donne, dans le soutien qu’il apporte ou dans l’aide qu’il pourvoit, Maegon ne regarde pas à la dépense ni au temps dès lors qu’il est pleinement associé à un projet. Ses florissants domaines lui donnent la gestion d’une vaste fortune qu’il utilise pour sa famille et ses obligés. Il sait très bien ne pas regarder à la dépense et considère qu’être pingre est indigne de son rang.

Athlétique : Le corps est une obsession pour Maegon. Il passe son temps à s’entraîner pour faire de son corps un corps parfait. Il méprise les gens laids ou qui ne s’entretiennent pas et les considérera toujours avec une grande méfiance, comme ne respectant pas les idéaux valyriens.

Honnête : Maegon déteste le mensonge. Il pourra se montrer évasif, jouer sur les mots, mais mentir est une frontière morale qu’il se refusera toujours, considérant qu’un noble qui ment se déshonore et déshonore son statut. Dès lors qu’il exprime une position sur un sujet, on peut être sur qu’il s’y tiendra le moment venu. Les serments et les engagements sont le fondement de toute vie entre nobles il les tient donc pour sacré.


Il suffit parfois d’un homme pour marquer l’histoire. Tergarys faisait partie de ce sang-là. Jamais satisfait que le monde soit trop inconnu encore aux hommes, il s’engagea dans l’expansion et l’exploration pour Valyria. Ce fondateur glorieux posa ainsi, pour sa lignée, les bases du patriciat que l’on accorde aujourd’hui aux Tergaryon.

La famille croissait en richesse, en honneur et en pouvoir, venant se hisser parmi les familles les plus en vue de Valyria.

L’unité de la famille ne fut jamais remise en question jusqu’à Rhaenar II Tergaryon.
Celui-ci eut plusieurs fils. Ils ne s’entendaient pas. L’aîné et le cadet particulièrement, se déchiraient dans une rivalité vaine ayant pour source l’ombrage pris par la branche aînée du pouvoir pris par la branche cadette.

La branche aînée se forgeait donc une identité dans la tradition scrupuleuse. Fidèles à l’attachement à l’armée de leur siège familial, fidèles à la tradition d’un mariage incestueux, Vaekar pensait passer cette identité particulière à son fils Maegon. Il n’y parvint pas tout d’abord.

Prolifique, la branche aînée a donné de nombreux fils et de nombreuses filles :

• Rhaenar Tergaryon II † (mort de vieillesse)
∞ sa soeur-épouse, Aelya Tergaryon

Branche principale :

• Vaekar Tergaryon † (tombé lors de la Première Guerre contre les Ghis)
∞ sa soeur-épouse, Alyssa Tergaryon
➝ leur fils Maegon Tergaryon - 28 ans - Seigneur Dragon
➝ leur fille Aelya Tergaryon
➝ leur fils Arios Tergaryon
➝ leur fille Vyseria Tergaryon
➝ leur fille Rhaelys Tergaryon
➝ leur fils Haelios Tergaryon

• Vytaeron Tergaryon - Mage

La branche aînée semble aujourd’hui terne comparée aux personnalités flamboyantes de la branche cadette. Elle reste cependant très riche et son héritage commande un grand respect.

La branche aînée dispose de deux demeures principales, le Palais Hoskagon à la capitale, et le Palais Tergaryon à Gelios d’où elle est originaire.



Nom du Dragon : Caraxes
Age :  29
Couleurs :  Bleu marine avec des reflets verts foncés.
Brève description : Caraxes est un dragon long et fin. Loin d'être une montagne de muscles, il est en revanche très agile même pour un dragon de sa taille, sa queue est longue et lui permet de donner des coups de fouets meurtrier dans la bataille. Cependant, l'aspect le plus redoutable de Caraxes, c'est sa gueule, plus large que la moyenne, elle permet de cracher une quantité de flamme très importante, faisant de l'animal un parfait dragon pour engager et harceler les troupes ennemies à distance et disparaitre dans les cieux.
Autres dragons de la famille : Aucun dans la branche aînée.
Que pensez-vous de l’esclavage à Valyria ? Maegon n'a pas d'avis particulier sur l'esclavage. La fin justifie les moyens. Si les esclaves peuvent permettre la grandeur de Valyria, il n'y a aucune raison de s'en priver, encore moins si les ennemis de la République l'utilisent.
Quel futur envisagez-vous pour votre personnage au sein de Valyria ? Maegon convoite le pouvoir, politique mais aussi et surtout, militaire. En bon militariste et en homme fasciné par l'armée, il brigue un haut poste dans le commandement valyrien. En revanche, c'est un Républicain peu enclin à des réformes institutionnelles, il ne se verra donc jamais en généralissime ou en dictateur. Il ne dirait pas non, en revanche, à une place au Conseil des Cinq dès lors qu'il en aura l'opportunité.
Que pensez-vous de la division de la société valyrienne en factions ? Maegon navigue parfaitement dans le système des factions. Cette division est nécessaire afin de s'assurer que l'ensemble des intérêts de la société valyrienne soient pris en compte. Bien qu'il soit farouchement militariste, Maegon n'ignore pas qu'une armée, ce sont aussi des bouches à nourrir, des gens à payer et surtout, un peuple et une République à défendre. Qu'lle occupe un rôle de premier plan, surtout dans une période d'expansion, lui semble normal. Que l'armée s'accapare la République lui semble dangereux pour l'armée elle-même et son crédit.

Maegon Tergaryon
Maegon Tergaryon
Sénateur

Titre icisous titre là
Le feu endormi
Palais Tergaryon, Gelos, 1037.

Il est né le divin enfant. Vaekar Tergaryon, aîné du patriarche Tergaryon, vient d’avoir un fils. La lignée se trouve renforcée. Le chef de la famille est heureux, son héritier l’est tout autant, quant au nouveau-né, toutes les fées se sont penchées sur son berceau. Il nait dans la République de Valyria, la plus grande civilisation du monde. Il nait dans une des familles patriciennes les plus puissantes, d’un mariage parfaitement pur, et comme aîné d’un aîné. Le monde lui appartient, on ne manquera pas de lui apprendre qu’il n’aura jamais de limites à ce qu’il peut accomplir.

La mère, elle aussi, n’est pas sans joie, ni sans soulagement. Premier enfant, premier fils, désormais, elle est libre du poids qui pèse sur toutes les femmes du sud : donner un fils.
Restait encore l’Epreuve du feu. Pour la naissance d’un futur chef de famille, on ne lésina pas. Des alliés, des clients, et la famille dans son ensemble. Un prêtre d’Arrax, et un mage éminent du Collège, devaient officier. Alyssa est enchainée. Il est temps que les Dieux rendent leur verdict. Vaekar et son père ne sont pas inquiets, l’enfant est de sang pur, les Dieux ne le rejetteront pas.

Ils devinent juste. L’enfant semble ne subir aucun dommage, il ne pleure même pas. Le prêtre, lui, prophétise.

« Ton fils sera semblable à un soleil noir. Sa lumière ne sera peut-être pas la plus visible, ni la plus étincelante, mais il sera un astre considérable. »
Vaekar ne sut pas très bien comment interpréter ces paroles cryptiques.

Palais Tergaryon, Gelos, 1042

-Maegon ! Est-ce que tu m’écoutes ?

Maegon n’écoutait pas le précepteur qu’on lui avait assigné. Il rêvassait. Ce vieux bouc tentait de lui apprendre tout un tas de choses dont il se fichait complètement. Il préférait largement aller jouer dehors avec Maekar à la bataille. Cela lui semblait bien plus intéressant et utile. Qu’est-ce qu’on en avait à faire de qui avait fondé la Répu je ne sais pas quoi… Dragons Verts, Dragons Rouges, de toute façon, lui, il préférait largement le noir, c’était plus joli.

-Non.

L’aplomb du petit garçon sidéra le vieux précepteur. Il clôtura la leçon et libéra le jeune homme. Il n’était pas utile d’aller plus loin dans l’enseignement du jour. C’était du temps perdu pour chacun d’eux. Maegon, libéré, couru dehors, cherchant son cousin. Sa course ne dura pas longtemps dans les jardins du Palais Tergaryon. Les deux jeunes enfants ont la même passion : se battre, ou en tout cas, jouer à se battre. Ils s’en donnent à cœur joie, ce qui fait aussi bien sourire leurs parents que s’arracher les cheveux à la domesticité qui doit s’assurer que les enfants sont propres et bien mis.

Ce jour-là, cependant, la chiffonnade ne dure que quelques minutes. La grand-mère des deux jeunes gens se montre, et informe Maegon que son grand-père veut le voir. Le garçonnet dégluti. Visiblement, il ne l’aura pas emporté au paradis, et sa petite phase d’insolence n’est pas passée autant inaperçue qu’il l’espérait.

Son grand-père le fascine, l’impressionne et le terrifie. C’est un homme aimant, aucun doute n’est fait là-dessus, mais c’est un authentique valyrien, un homme d’une grande intelligence, d’une grande finesse, et ayant peu d’attrait pour les paresseux.

Entrant dans le bureau, les cheveux en bataille et un peu débraillés par ses jeux avec Maekar, Maegon n’en menait pas large dans cette immense pièce pleine de parchemins, aux meubles luxueux et avec, au centre de cette toile, l’araignée, son grand-père. Grand, magnifique malgré un âge déjà avancé, l’air bienveillant mais embarrassé par l’arrivée de son petit-fils. D’un geste lent de la main, il l’invita à s’asseoir en face de lui.

-On me dit que tu n’es pas très assidu dans tes leçons ?

Maegon ne répondit pas, il avait un peu envie de pleurer, mais il se retenait, il aurait eu trop honte de craquer en face de son grand-père. Celui-ci, se leva et fit signe à son petit-fils de le suivre. Maegon ne se posa pas trop de questions. Dans un long couloir, on pouvait voir sur les murs divers portraits.

-Tu vois ces gens sur les murs ? Ce sont nos ancêtres, nous avons participé depuis toujours à l’histoire de Valyria. Chacun d’eux a permis, selon ses moyens, de participer à notre société, certains d’entre eux étaient de grands guerriers.

-Ah bon ?

-Oui, Maegon. Et tu sais comment on devient un grand guerrier ?

-Oui, en devant fort et en chevauchant un dragon.

-Non, Maegon, on devient un grand guerrier lorsque l’on sait qui on est. Et pourquoi on se bat. Sais-tu pourquoi tu veux te battre ?

-Non.

-Tu apprendras, en apprenant l’histoire de la gloire de Valyria. Comment veux-tu commander des hommes si tu ne sais pas ce qui bouge ton cœur et ton esprit ? Imprègne-toi de la grandeur, apprend à manier la plume comme l’épée. La loyauté et le respect d’un soldat n’est jamais dû à son chef, Maegon, il se gagne. Une fois gagné, on te suivra jusqu’aux fonds des abysses les plus sombres.

Les yeux grands ouverts, Maegon buvait les paroles de son grand-père. Depuis, il n’a plus jamais fait d’histoire à son précepteur.

Palais Hoskagon, Valyria, 1049.
-Maekar m’a battu la dernière fois. J’avais pourtant le dessus.

-Jeune maître, tu t’es laissé distraire par ton arrogance, tu aurais pu finir, mais tu as préféré la bravade. Maekar est patient, il attendait une faute.

-Bah… Je l’aurais la prochaine fois.

Le vieux soldat qui faisait office de maître d’arme semblait sceptique. Quoique très talentueux, son jeune élève se laissait toujours avoir par son orgueil. En reprenant l’entraînement, Maegon s’imaginait combattre Maekar. La compétition saine entre les deux jeunes nobles valyriens était teinté de bien plus d’importance qu’il n’y paraissait. Dans le fond de l’âme de Maegon couvait une forme de jalousie qui n’avait rien à voir avec la compétition. Sa mère l’avait senti, et tentait parfois de rassurer le jeune homme. Maekar était peut-être son égal l’épée à la main, mais de toute évidence, son caractère taciturne était un désavantage face à la sociabilité naturelle de Maegon, qui passait bien partout où il allait, et dont l’humour et la répartie ravissait la bonne société valyrienne.

Maegon ne comprenait pas bien quel accomplissement il y avait là-dedans, lui qui se voyait diriger des armées, commander les troupes et se battre pour la gloire de la République et de Valyria.

Son père en rajoutait une couche en lui rappelant qu’un jour, il hériterait du siège sénatorial de la famille, et qu’il lui faudrait s’intéresser aux affaires politiques de la République, qui était un champ de bataille en lui-même. Maegon attendait avec impatience ce moment, il brûlait de s’illustrer, mais pour l’heure il devait apprendre.

Il avait bien assisté, en spectateur, à quelques séances du Sénat. Son grand-père, lorsqu’il le voyait, ce qui devenait de plus en plus rare, lui avait expliqué les factions, le Conseil, et toutes ces choses indispensables. A douze ans, on n’était plus tout à fait un enfant, il fallait bien laisser mourir la relative insouciance. Il s’y employait. Là où il décevait son père, cependant, c’était lorsqu’il semblait être tout à fait imperméable à la haine vis-à-vis de la branche cadette, oncle et cousins, qui donnait tant d’occasion à son père de s’enrager. N’étaient-ils pas du même sang ? Le prestige de la branche cadette ne rejaillissait-il pas sur leurs supérieurs naturels qu’étaient les aînés ? Après tout, leur puissance s’ajoutait à la leur. Sa grand-mère le lui disait souvent, et puis, il ne se voyait pas du tout haïr Aenar, Maekar et Elaena dont il était très proche et qui lui avaient donné ses plus beaux souvenirs d’enfance.

Palais Hoskagon, Valyria, 1050.

Le Patriarche, le chef des Tergaryon, Rhaenar II, était entré en agonie. La famille au complet était réunie pour accompagner dans ses derniers moments un homme qui avait tenu serré les liens familiaux et duquel chacun avait toujours apprécié les conseils et la façon de diriger la famille. Il avait œuvré tant qu’il avait pu à pacifier les relations entre ses deux fils, dans un succès inégal. Il se réjouissait cependant devoir que Maegon n’épousait pas les querelles de son père et son oncle, et qu’il en était de même pour les enfants de la branche cadette.

Le dernier souffle avait été poussé. Un grand valyrien disparaissait, laissant à la charge des générations futures de faire vivre. Maegon réalisait aussi le changement de position que cela signifiait pour lui. Depuis ce jour, il était l’héritier d’une des familles les plus puissantes de Valyria. Les mots de son grand-père raisonnaient avec plus de force en lui « Pourquoi tu te bats. » la réponse lui paru alors évidente, en contemplant la dépouille de celui qui avait été le modèle de ses jeunes années : la famille.

Gelios, Palais Tergaryon, 1053.

Maegon s’étira en souriant. Son bras gauche frôlant le dos de la jeune femme qui était étendue, nue à ses côtés. Il avait rondement mené son affaire hier lors de la fête somptueuse donnée par son père. Quelques compliments bien tournés, une caresse de ci-de là, et l’affaire avait été conclue. C’était la première fois et certainement pas la dernière. De deux ans son aînée, la jeune fille d’une très bonne famille de Gelos, cliente des Tergaryon, qui venait de le dépuceler semblait ne pas s’être plainte de la performance du jeune noble. Naturellement, il était encore fort brouillon dans l’étreinte, ses caresses et ses mouvements témoignant d’une connaissance sommaire de l’anatomie féminine, mais il apprendrait, et rapidement, afin de devenir un amant parfaitement capable de faire bonne…Figure… dans les orgies mondaines de la vie valyrienne.
Quelques heures plus tard, il s’entretenait avec son père, lui aussi cerné par les excès de la veille. Chaque jour, le père entretenait le fils des affaires en cours afin qu’il apprenne le métier. Il questionnait son fils, cherchait à savoir comment il agirait à sa place, et corrigeait sa conduite.

L’après-midi, comme tous les après-midis depuis maintenant de nombreuses années, Maegon montait son dragon. On avait surnommé l’écailleux Caraxes, du fait de sa couleur bleu marine et verte semblable à celle de l’océan. Contrairement à son chevaucheur qui avait un caractère souple et sociable, le dragon de Maegon n’appréciait pas beaucoup le contact d’étrangers à la famille Tergaryon. Le sang pur de l’héritier Tergaryon lui offrait malgré tout un lien puissant, presque empathique. Lorsqu’il volait avec lui dans les cieux, tout semblait s’effacer. Les jeux de pouvoir, l’ambition, la famille, tout disparaissait dans une communion draconique dans les éléments aériens. Fait rare pour un valyrien, il allait souvent survoler la mer. Comme tout les valyriens, il craignait cette grande étendue d’eau, insondable et mystérieuse où des créatures légendaires effrayantes devaient dormir, attendant leur heure. On pouvait éteindre un feu, mais contre l’eau, on ne pouvait rien, déchainée, elle engloutissait tout, digues, murs, hommes, comme la mort, rien ne lui résistait.

Au fond de l’âme de Maegon, le désir de se confronter à la mort était de plus en plus pregnant. La pulsion morbide s’éveillait en lui avec l’impatience de pouvoir enfin prouver à tous le bois dont il était fait, quitte à mourir dans la tentative.

Mhysa Faer, casernement du Vème Commandement, 1055.

Maegon ne tenait pas en place. Aujourd’hui, pour un an, il entamait son service militaire. Toute sa vie il avait attendu ce moment avec impatience. Il avait demandé lui-même le Vème commandement comme une faveur, en effet, cette armée, spécialisée dans les attaques amphibies, pourrait lui permettre de mettre à profit toutes ces heures de vol en dragon au-dessus de la Mer à Gélios. Il s’agirait aussi de se confronter à l’élément marin dans toute sa fureur. Il put, à cette occasion, faire l’apprentissage de la nage, indispensable pour participer aux opérations de la troupe. La Vème armée travaillait également beaucoup avec l’amirauté, le jeune noble eut donc l’occasion de fréquenter les marins. La société valyrienne les considérait un peu comme des gens à part, et Maegon écoutait leurs aventures aqueuses avec attention.
Maegon rempli avec exemplarité son devoir civique pendant cette année. Après tout, il s’entraînait régulièrement depuis des années et sa condition physique était souvent bien meilleure que celle de la troupe de base, qui n’avait parfois jamais tenue une épée en main. Cette année le désigna comme un futur cadre prometteur de l’armée valyrienne, tout à fait apte à assumer les responsabilités que l’on attendait, dans ce domaine, de la noblesse de la République.

Palais de l’Archonte, Oros, 1061.

Médusé. Maegon était médusé. L’héritier de la famille, venu en visite à Oros, s’attendait à être reçu dignement selon les honneurs dus à son rang. Mais certainement pas comme ça. Ce n’était pas une marque de respect qu’on lui faisait. On lui lançait un défi par l’extravagance de l’accueil. Le message qu’interpréta Maegon ce soir-là fut simple : « Nous sommes vos égaux ». Vrai ? Faux ? la question ne se posait pas. En politique ne paraissait que ce qui paraissait exister, et les faits étaient là. La branche cadette avait un siège au Sénat pour elle, et sa fortune venait de s’étaler sous les yeux du futur chef de famille. C’est alors que s’installait le doute. Son grand-père avait-il eu tort ? Son père voyait-il juste depuis toutes ces années ? Tel un Dieu jaloux, Maegon avait eut envie de foudroyer l’orgueil de ses cadets qui pensaient dévorer le monde et en chemin le prestige de la branche ainée des Tergaryon. Prétextant une fatigue, il se retira dans les quartiers, tout aussi somptueux, qu’on lui avait accordé pour son séjour. Lui si mondain avait eu du mal à donner le change, pour la première fois.

Passé la stupeur, passé la surprise, le reste de son séjour se passa sans qu’il laisse paraitre son humeur. Il souriait, discutait aimablement et participait à toutes les nuits chaudes d’Oros. Lui, d’habitude si friand des plaisirs valyriens, ne se sentait réchauffé par aucune femme, et tout semblait s’évanouir dans sa bouche comme de l’eau et du coton. Avant de rentrer à Valyria, il fit son aurevoir à son oncle et ses cousins. Remontant sur son dragon, et attendant d’être bien loin dans les airs, il serra les dents. Il était venu visiter la famille, il repartait avec des rivaux.

Palais Hoskagon, Valyria, 1062, mois 3.


Maegon se trouvait face à son père. Les deux hommes étaient silencieux. Sur le bureau du chef des Tergaryon, une missive, qu’ils avaient lu tous deux. L’Empereur Ghiscari s’était rendu coupable d’une terrible forfaiture. Dix nobles valyriens, envoyés pour négocier ne résolution pacifique des différents entre la République et l’Empire, avaient péri suite à un piège. Le patriarche Tergaryon cracha, de mauvaise humeur.

-Voilà ce qu’il coute de se comporter en marchand de tapis. Ils étaient prêts à payer un tribut, un tribut entends-tu ! Des lâches, prêt à se vendre comme des putains. Ils ont eu le salaire de leur veulerie, payé comptant par le sang de dix innocents que notre naïveté a envoyé à la mort. Voilà au moins qui met fin à notre fiction idiote de possibilité de paix avec Ghis

- Cette guerre est une opportunité, père. Les temps heureux sont finis et un ennemi extérieur nous menace, l’armée sera le recours légitime de la population. C’est le moment de nous illustrer.

-Si nous survivons, Ghis n’est pas un ennemi à prendre à la légère. N’oublie pas, mon fils, le soldat le plus utile n’est pas le plus courageux, le plus intrépide ou le plus héroïque, c’est celui qui survit pour continuer le combat.

Peu perméable à cette sage maxime, Maegon n’avait aucunement l’intention de se comporter comme un planqué. Il comptait bien enfin réaliser son rêve et se couvrir de gloire. Toute sa vie avait été faite pour le former à commander, il allait enfin gagner l’occasion de réaliser sa vocation.

Sur le champ de bataille, quelque part, an 1063, mois 12.

Quelle honte. Voilà tout ce que se disait Maegon en regardant le bilan de cette année de guerre. Il venait d’apprendre le remaniement du commandement valyrien. Il avait espéré en faire partie afin d’obtenir enfin une réelle opportunité de faire valoir ses qualités au combat. Il n’avait jusqu’ici participé qu’à quelques escarmouches, aucune bataille majeure, et rien qui soit de nature à lui permettre de remplir ses objectifs.

Pire, Maekar a été promu. Son rival de toujours passe son temps à se couvrir de gloire sur le champ de bataille. Comme si les Dieux étaient avec lui. La colère couvait dans l’esprit de l’héritier Tergaryon. Il avalait l’injure, que pouvait-il faire d’autre ? Lui qui n’avait pas désiré être un planqué et qui pensait que mourir au combat était une gloire inestimable, il se retrouvait sur des fronts mineurs, et observait tout un tas de gens obtenir gratifications et avancement. La branche aînée des Tergaryon passait complètement à coté de cette guerre et cela n’augurait rien de bon.

Néanmoins, un espoir subsistait, la guerre s’annonçait longue et douloureuse, il y aurait encore le temps de voire naître les opportunités pour combattre utilement, pour la gloire des Tergaryon.

Durant ce mois 12, les catastrophes ne cessèrent pas pour la branche aînée de la famille. Maegon apprit plusieurs jours plus tard que son père était tombé au combat lors de la troisième bataille de Borash. Il manqua de défaillir à cette nouvelle. Dans les pires circonstances, et bien plus tôt qu’il ne l’aurait imaginé, il venait de s’élever à ce rang pour lequel il avait été tant choyé et formé. Le jeune homme devenait, sur l’instant, Sénateur, chef de la famille Tergaryon. Son père avait rejoint son grand-père. Que devaient-ils penser, dans leur demeure éternelle, de Maegon ? Combattant sans gloire, héritier sans mérite, sénateur trop jeune.

Les affaires de la famille allaient se trouver en très grand désordre. Il était donc contraint de prendre congé du front. Il rentra à Valyria, au Palais Hoskagon. Sa mère et sa grand-mère l’y attendaient.

Quelques mois avant, Aenar, l’héritier de la branche cadette, avait subi le même sort. La guerre allait-elle décapiter les deux têtes du dragon ? L’un d’eux allait-il survivre à cette guerre ? Maegon, d’une certaine façon, était envieux d’Aenar, il avait pu mourir au combat, en faisant son devoir tandis que lui, Maegon, se voyait happé hors du champ de bataille pour assurer les affaires de la branche aînée des Tergaryon.

Bureau du Sénateur Maegon, Valyria, 1066 mois 2.

Maegon Tergaryon n’avait jamais retrouvé le chemin du front. Il avait passé les deux dernières années à prendre en main sa fonction de Sénateur et surtout, à consolider sa position de chef de la branche aînée. Il avait ainsi rencontré tous les alliés de la famille, et fait un séjour de plus de neuf mois à Gelios afin de s’assurer des réseaux de la famille sur place. Lorsqu’il s’était senti paré à enfin retourner au front, et qu’il polissait déjà son armure et affutait son épée, on lui apprit la victoire de décisive remportée par le commandant Arrexios Maerion. La guerre allait toucher à sa fin. Maegon en sortait sans gloire ni fait d’arme réel.

Ses cadets, en revanche, s’étaient gavés. Maekar revenait auréolé d’une gloire immense et son père, le Dragon d’Oros, avait joué un tour de son secret en désignant comme son successeur sa fille. La guerre avait tout chamboulé et tout dévasté. Les cadets damnaient le pion aux aînés, et les femmes succédaient, comme on le faisait dans les terres décadentes du Nord, ou rien n’était un peu sacré. Maegon s’était agacé en premier lieu de cette énième entorse aux règles et aux usages, mais il avait essayé d’en tirer parti. Après tout, même si des rivalités existaient, l’unité familiale devait rester au moins de façade. Il avait donc tout naturellement accepté d’être un des « tuteurs » de la jeune héritière Elaena. Encore qu’il ne se soit jamais fait trop d’illusion sur le caractère manipulable de sa cousine. Il sauvait la face. Néanmoins, la fin de la guerre et la situation nouvelle lui donnait une capacité d’action et une clarté sur ses objectifs.

Son analyse était simple : aucune paix n’était possible entre Ghis et Valyria, encore moins maintenant que l’Empire, surpris par la défaite, voyait un réel rival se dresser devant lui et venir mettre fin à des millénaires de domination. Quand on se pensait la plus grande civilisation de l’univers, on ne tolérait rien d’autre que la soumission. Et Valyria était aussi indomptable qu’un dragon enragé. Une prochaine guerre viendrait, peut-être pas demain, ni après-demain, mais prochainement. La première l’avait surprise, la seconde, il l’attendrait et la préparerait.

Evenements récents.

La mort de Lucerys était une catastrophe pour la République, pour l’armée et pour la faction militariste. L’émotion de l’armée était parfaitement légitime. Quand bien même il n’eut pas grande prise sur les événements qui conduisirent au coup de force, et quand bien même il se senti de nouveau traité comme quantité négligeable, Maegon apporta un soutien immédiat aux actions des militaires, du moins sur le principe. Il ne pouvait, pour l’instant, être le seul gros poisson Tergaryon à ne pas soutenir l’entreprise dans laquelle Maekar trempait jusqu’au cou, briser ainsi l’unité familiale lui aurait couté en prestige, en réputation et en amis. Par ailleurs, l’hypothèse d’une guerre contre Ghis, promue par les membres des « Rouges » comme on les appelait, constituait un point essentiel sur lequel il n’entendait pas transiger.

Pourtant, son jeu allait être plus complexe. Le coup de force était une action émotive, motivée par l’émotion légitime suscitée dans l’armée et le peuple par la mort d’un très grand général et homme d’Etat valyrien. C’était cependant oublier que très bientôt, le fantôme de Lucerys ne remplirait pas les estomacs, pas plus qu’ils n’amèneraient l’ordre. Maekar savait se battre, personne n’en doutait, mais lui et le petit nombre qui constituait le haut du pavé Rouge sauraient-ils gouverner et inspirer ?

Rien n’était moins sûr. Et dans l’ombre, la tête du dragon bicéphale que l’on croyait endormie commençait à ouvrir les yeux.


Daemon Tyvaros
Daemon Tyvaros
Le Tortionnaire

Bonjour @Maegon Tergaryon* et bienvenue à toi sur Rise of Valyria Maegon Tergaryon: Fire asleep. 3452972663

Au-delà de ton excellent choix de personnage - surtout alors que @Maekar Tergaryon est aussi dans son processus de rédaction de fiche - je voulais te signaler avoir supprimé l'ancienne fiche en cours de préparation pour le personnage de Maegon, dont nous n'avions pas de nouvelles depuis un long moment Maegon Tergaryon: Fire asleep. 4169029909

Tu peux donc éditer ton nom pour enlever cette petite étoile quand tu verras ce message ! Maegon Tergaryon: Fire asleep. 4122157962

Ensuite, si ti as des questions sur Maegon, la situation politique ou ce genre de choses, n'hésite pas à me contacter par MP sur @Voix de l'Ombre ou en MP Discord Maegon Tergaryon: Fire asleep. 47398709

D'ici là, je te souhaite une excellente rédaction de fichette Maegon Tergaryon: Fire asleep. 2043654651
Daenyra Tergaryon
Daenyra Tergaryon
Dame-Dragon

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t520-daenyra-tergaryon-th
Rho là là ! Le frère et le cousin qui débarquent en même temps... c'est juste parfaiiiit Maegon Tergaryon: Fire asleep. 2043654651 Maegon Tergaryon: Fire asleep. 2991234872

Bienvenuuuue parmi nous !! Trop hâte de voir ce que tu vas nous concocter avec ce personnage ! Au besoin, n'hésite pas non plus ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche Maegon Tergaryon: Fire asleep. 871372357
Vaenyra Menaleos
Vaenyra Menaleos
Mage

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t1376-vaenyra-menaleos
Rohlalala que de Tergaryon par ici :brill:

Bienvenue l'ami !
Aemond Qohraenos
Aemond Qohraenos
Mage

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t1340-aemond-qohraenos-a-
Bienvenue avec ce bien beau personnage et bon courage pour ta fiche !! Maegon Tergaryon: Fire asleep. 283014237
Maerys Qohraenos
Maerys Qohraenos
Prêtresse

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t655-maerys-qohraenos-a-t
Bienvenueeee @Maegon Tergaryon !!

Hâte de te voir en jeu avec tes cousines et ton cousin hihihi
Alynera Vaekaron
Alynera Vaekaron
Mīsio Lentor

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t661-epreuve-du-feu-d-aly
Et un Tergaryon de plus, vous poussez vraiment comme des pâquerettes ! Maegon Tergaryon: Fire asleep. 1138098981

Bienvenue parmi nous Hal, je suis très heureuse de te voir prendre Maegon ! Il t'attendait depuis bien longtemps. Vite, vite, la validation pour que nous puissions assister à tous tes merveilleux RP futurs  Maegon Tergaryon: Fire asleep. 871372357  Maegon Tergaryon: Fire asleep. 3686388144
Aerys Maerion
Aerys Maerion
Seigneur-Dragon

https://rise-of-valyria.forumactif.com/t44-aerys-maerion

Bienvenue Maegon Tergaryon !validation, douce validation
C'est bon, c'est fait. Te voici validé(e). Bravo ! Ce petit picotement que tu ressens est celui du début d'une aventure où tu rencontreras des personnages et des créatures incroyables. Te sens-tu prêt(e) à nous rejoindre ? On espère que oui car le grand moment est arrivé !

Ton personnage, Maegon Tergaryon, va désormais rejoindre les Nobles de notre belle Valyria pour devenir l'un de ses membres les plus illustres, espérons-le !

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Le Mot du Staff
par Valou'
Une bien belle fiche pour un personnage aussi intrigant que prometteur: j'ai hâte de le voir en jeu ! Bon retour ici Maegon Tergaryon: Fire asleep. 2656854689   

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